5 résolutions écolos pour 2024

Paris Vélo mobilité douce cyclable

Pont des Arts, 16e arrondissement, Paris © Yann Arthus-Bertrand

Pour commencer l’année de manière responsable, l’ADEME suggère 5 actions pour réduire son empreinte écologique dans des domaines de la vie aussi variés que la mobilité, l’alimentation, la consommation ou l’usage du numérique. Ces 5 résolutions écologiques individuelles visent à encourager des comportements vertueux, cependant une certaine prise de recul est nécessaire pour comprendre leur impact. Décryptage.

Mobilité : les transports à privilégier et à délaisser

Pour votre santé comme pour celle de la planète, les mobilités douces sont à privilégier : la marche, le vélo ou les transports en commun. Le secteur des transports est le plus émetteur de gaz à effet de serre (GES) en France en contribuant à 32 % des émissions nationales en 2022. Plus de la moitié de ces émissions de GES est due à l’utilisation de la voiture. Elle représente 84 % des déplacements effectués dont 41 % par des conducteurs seuls en 2019 d’après le ministère de la transition écologique. Le covoiturage est donc à favoriser pour atténuer l’impact de l’utilisation de la voiture individuelle.

impact carbone émissions transports
Quantité de CO2 émise par personne sur 10km selon le mode de transport (valeurs exprimées en kg CO2e émis par personne en France. Sont incluses les émissions directes, la construction des véhicules et la production et distribution de carburant et d’électricité. La construction des infrastructures n’est pas incluse). ©ADEME

[À lire aussi : Aurélien Bigo : « les capacités des voitures thermiques ou électriques sont surdimensionnées par rapport aux usages réels »]

Même si les 3 % d’émissions nationale du secteur aérien peuvent sembler négligeables, l’avion est le moyen de transport le plus polluant au niveau mondial dont il faut se détourner sur les petites et moyennes distances, au profit notamment du train. Pour organiser des vacances respectueuses de l’environnement, l’ADEME a mis en place une page dédiée ici.

Alimentation : diminuer sa consommation de viande

« Parce qu’elle représente environ un quart des émissions de gaz à effet de serre des ménages en France, l’alimentation fait partie des principaux leviers à activer pour atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », rappelle l’ADEME dans un dossier de février 2023. Consommer moins de viande permet de réduire l’impact de l’élevage qui représente 12 % des émissions directes mondiales de GES liées aux activités humaines d’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). C’est également le premier facteur de déforestation en Amazonie. Un rapport de l’INRAE met en avant qu’un rééquilibrage alimentaire entre produits végétaux et animaux est bénéfique pour la santé, d’autant plus que la consommation française de produits carnés transformés et de viande rouge est supérieure aux besoins nutritionnels. Réduire sa consommation de viandes au profit d’une alimentation plus végétale diminue ainsi son empreinte carbone, favorise le bien-être animal et permet d’adopter dans le même temps un régime plus sain.

Achat : se questionner et s’informer avant de faire son shopping

Entre surconsommation de ressources naturelles, pollution de l’eau, un taux de recyclage faible et des émissions de GES à hauteur de 10 % des émissions mondiales, l’industrie de la mode a un impact non négligeable sur la planète. Selon l’Agence européenne pour l’environnement, les achats de textile dans l’Union Européenne en 2020 ont généré des émissions de CO2 équivalentes à 270 kg par personne. L’ADEME invite à se poser les questions de la méthode BISOU créée par Marie Duboin et Herveline Verdeken pour s’assurer de la nécessité de l’achat d’un vêtement neuf. Si la réponse finale est positive, il faut ensuite prêter attention aux labels environnementaux, à la composition, au pays de fabrication et à la note environnementale allant de A à E obligatoire depuis le 1er Janvier 2024.

[À voir aussi : La méthode BISOU pour acheter ses vêtements de façon responsable expliquée en 1 minute]

Numérique : étendre la durée de vie des appareils et privilégier le reconditionné

L’empreinte carbone des équipements numériques est liée à 80 % à leur fabrication. Les 20 % restant proviennent de leur utilisation. Les déchets numériques représentent en moyenne 301 kilogrammes par an par Français, d’après Vie Publique qui prend en compte la structure des objets et l’extraction minière requise. Il est donc important de faire durer au maximum les appareils, de s’en procurer des reconditionnés ou encore d’en mutualiser les usages.

[À lire aussi : La réduction de l’impact écologique du numérique passe d’abord par l’allongement de la durée de vie des appareils]

Ressources : économiser l’eau au quotidien

L’eau douce représente 4 % de l’eau disponible sur la planète d’après une publication de l’ONU et un Français en consomme 148 litres par jour principalement pour l’hygiène. L’agriculture et l’industrie sont très consommateurs d’eau. Cette demande renforce la crise de l’eau qui se profile depuis plusieurs étés en France entre sécheresses et inondations. Des gestes simples pour préserver l’eau domestique sont proposés par l’ADEME : « installer des réducteurs de débits sur les robinets, prendre des douches de moins de 5 minutes, lancer son lave-linge uniquement s’il est plein ». À cela peuvent s’ajouter des actions indirectes comme se renseigner sur la conduite de fermes locales et consommer les produits de celles qui s’appuient sur des systèmes moins gourmands en eau afin de soutenir un modèle plus résilient.

Mais, est-ce qu’adopter ces résolutions suffit pour changer la donne ?

D’après l’enquête de l’ADEME en 2022 : « plus d’un Français sur deux considère qu’il faudra modifier de façon importante les modes de vie pour limiter le changement climatique ». Si l’impact des gestes individuels n’est pas à négliger, il semble important de rappeler que la remise en question de nos modes de vie doit être plus profonde. Pour le réalisateur et militant écologiste Cyril Dion, cela ne doit pas s’arrêter aux petits gestes comme il le rappelait sur France Inter en 2019 car le plus gros du problème est structurel. « Evidemment que c’est très important que tout le monde fasse tout ce qu’il peut au quotidien », reconnaît-il, mais ne pas aller plus loin dans la réflexion pourrait mener à des situations absurdes par leur inefficacité comme « je travaille à Monsanto mais j’y vais à vélo ! ».

[À lire aussi : Vincent Liegey, auteur de Sobriété (la vraie) : « la croissance se révèle toxique pour des modes de vie sains et pour la joie de vivre »]

Les gestes quotidiens sont là pour changer nos habitudes afin d’accompagner de manière active le changement structurel à plus grande échelle qui lui-même façonne nos modes de vie. « Les actions individuelles et les actions collectives […] sont indissociables et indispensables. Nous ne le répéterons jamais assez : nous aurons besoin des deux, et de tout le monde », rappelle Bon Pote dans son article T’es écolo mais t’as un iPhone.

Il s’agit ainsi de faire au mieux sa part en ayant conscience que la responsabilité est partagée, sans entrer dans « une course à la pureté » comme le rejette le journaliste militant Hugo Clément lors de sa conférence à Lausanne en septembre 2023 qu’il conclut par : « réduire c’est déjà bien. Il faut encourager chaque démarche qui va dans le bon sens. Soyons bienveillants les uns avec les autres, soutenons nous dans nos démarches positives ». La question à se poser maintenant est celle de savoir lesquelles de ces résolutions écolos êtes vous prêts à adopter en 2024 et au-delà ?
Louise Chevallier

Pour aller plus loin :

Calculer son empreinte carbone : Calculateurs carbone – Fondation GoodPlanet

À lire aussi sur GoodPlanet Mag’

Anaïs Rocci, sociologue à l’ADEME : « l’objectif de la sobriété est de trouver un modèle de société qui permette à la fois de respecter les limites des ressources planétaires et à chaque personne de vivre décemment »

Le mini guide de l’Ademe pour rester au frais tout l’été tout en évitant de consommer trop d’énergie !

3 commentaires

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    • Guy J.J.P. Lafond

    Merci pour un tel guide naturel de début 2024.
    Ça commence bien la nouvelle année en lion!
    Je suis rassuré. Ces cinq résolutions font déjà partie de mon équation et de mon quotidien.
    La dernière fois que j’ai pris l’avion remonte à 2011.
    Je n’ai plus de voiture thermique depuis 2013.
    J’achète peu de vêtements et je les utilise longtemps.
    J’ai diminué de beaucoup ma consommation de viande. Et cela remonte à plusieurs années.
    Par contre, je me suis procuré récemment un nouveau téléphone portable.
    Entre choisir une voiture électrique et choisir un iPhone (ou un Androïd) j’opte pour l’option no 2. Ça demande moins de ressources matérielles pour le produire.
    Enfin et comme le faisait mon père, je m’investis beaucoup dans l’éducation des adultes. Surtout quand il s’agit de changer nos habitudes de consommateur.
    Avec les forêts, avec les planchons, avec les baleines, avec la biodiversité, l’espèce humaine doit se remettre au travail si elle ne veut pas perdre des acquis précieux, soit de l’air pur et de l’eau cristalline.
    Action!
    @Guy J.J.P. Lafond
    Bénévole pour UN-Biodiversity en attend de reprendre mon poste d’analyste à la fonction publique fédérale canadienne à Ottawa. il me faut d’abord convaincre des directeurs de la fonction publique, des juges en Ontario et au Québec, des PDG de très puissantes banques à charte que je ne suis certainement pas, moi, une personne avec des problème de santé mentale. Ça prend du temps mais nous allons y arriver.
    https://mobile.twitter.com/UNBiodiversity/status/1395129126814691329

    • Guy J.J.P. Lafond

    Prise 2:
    Merci à GoodPlanet pour un tel guide naturel de début 2024.
    Ça commence bien la nouvelle année en lion!
    Je suis rassuré. Ces cinq résolutions font déjà partie de mon équation et de mon quotidien.
    La dernière fois que j’ai pris l’avion remonte à 2011.
    Je n’ai plus de voiture thermique depuis 2013.
    J’achète peu de vêtements et je les utilise longtemps.
    J’ai diminué de beaucoup ma consommation de viande. Et cela remonte à plusieurs années.
    Par contre, je me suis procuré récemment un nouveau téléphone portable.
    Entre choisir une voiture électrique et choisir un iPhone (ou un Androïd) j’opte pour l’option no 2. Ça demande moins de ressources matérielles pour le produire.
    Enfin et comme le faisait mon père, je m’investis beaucoup dans l’éducation des adultes. Surtout quand il s’agit de changer nos habitudes de consommateur.
    Avec les forêts, avec les planctons, avec les baleines, avec la biodiversité, l’espèce humaine doit se remettre au travail si elle ne veut pas perdre des acquis précieux, soit de l’air pur et de l’eau cristalline.
    Action!
    @Guy J.J.P. Lafond
    Bénévole pour UN-Biodiversity en attend de reprendre mon poste d’analyste à la fonction publique fédérale canadienne à Ottawa. il me faut d’abord convaincre des directeurs de la fonction publique, des juges en Ontario et au Québec, des PDG de très puissantes banques à charte que je ne suis certainement pas, moi, une personne avec des problèmes de santé mentale. Ça prend du temps mais nous allons y arriver.
    https://mobile.twitter.com/UNBiodiversity/status/1395129126814691329

    • Quidamus

    Je réponds ici à Thomas Wagner de « Bon Pote » pour son article « Ecologie : arrêtons de culpabiliser les Français ! », puisqu’il a été cité et qu’il semble impossible de laisser un commentaire sur son blog qui n’aille pas dans son sens.
    https://bonpote.com/ecologie-arretons-de-culpabiliser-les-francais/

    M. Thomas Wagner j’ai rarement lu autant d’inepties sur un espace aussi restreint.

    « Je bosse toute l’année, si j’ai envie de prendre l’avion pour le week-end ».
    Ha ? Parce qu’il y a encore des gens qui ont les moyen de prendre l’avion tous les week end ?
    Tu as conscience que la majorité des gens n’ont même pas les moyens de partir en vacance ?

    « …ne sont que des bobos à vélo, mangeurs de salades vegans ».
    Parce que toi t’es quoi avec tes voyages en avion tous les week end ? T’es pas un bobos ?

    « C’est à peine 2% des émissions. »
    L’avion c’est 4,1 % des émissions de gaz à effet de serre des transports en 2019. Des transports, pas des émissions mondiales ! Cela signifie qu’UN SEUL voyage en avion pollue autant que la consommation d’une voiture thermique durant toute sa vie. Selon le simulateur de l’ADEME, emprunter l’avion revient à émettre 229,97 gCO2e/km/personne en France faisant de l’avion le mode de transport le plus émissif. En gros pour chaque voyage en avion, t’as cramé ton quota carbone pour 5 ans. En 2022, les transports étaient à l’origine de 30 % des émissions nationales – soit 126 millions de tonnes de CO2eq – et constituaient alors le premier secteur émetteur en France.

    « Parce que le climat a toujours changé. Ce sont des cycles solaires, entre 60 et 100 ans. »
    Non mais il y a « changé » et « changé ». Là le taux actuel de CO2 dans l’atmosphère terrestre est le même qu’il y a 1 million d’années ! En cinquante ans l’homme a plus changé le climat que la nature en 200 000 ans.

    « Avez-vous vu depuis un an ce qu’ils veulent interdire ? Le sapin de Noël »
    Heu… non ça c’est le wokisme, le mec confond wokisme et écologie.
    Le wokisme c’est le courant qui fait de la discrimination positive d’un côté et de la dictature élitiste de l’autre. Sachant qu’un cliché positif est aussi réducteur et raciste qu’un cliché négatif. Ils définissent eux-mêmes, parmi les neufs formes de racismes existantes, celles qui sont « bénéfiques » et celles qui sont « maléfiques ». Comme s’il pouvait exister une forme « bénéfique » de racisme. Ainsi le wokisme censure la nudité (racisme corporel), particulièrement la nudité féminine (racisme de genre), ridiculise les gens modestes (racisme social), les Français et les Européens (racisme culturel) mais se veut lutter contre le racisme ethnique et le racisme de préférence. Et de ce fait ils se ridiculisent devant le monde entier.

    « Et puis, l’Homme s’est toujours adapté. »
    Réponse débile de base. Oubliant volontairement que l’homme n’est pas la seule espèce de la planète. Quand 75% des autres espèces ont disparus par sa faute, qu’on se retrouve en pleine sixième extinction de masse, l’homme a une responsabilité. Et plus lorsqu’il n’y aura plus d’animaux, l’homme disparaitra à son tour, à moins de devenir une machine. C’est sans doute ce tu entends par « l’homme s’est toujours adapté ».

    « De plus, si vraiment ce ‘réchauffement’ était de la faute des humains (ça reste encore à démontrer) ».
    Cela a été démontré pendant plus de 40 ans par pas moins de 63 communautés scientifiques. Tu habitais sans doute dans une grotte durant cette période.

    « Ces gens qui meurent partout là, ils meurent parce qu’ils n’ont pas la clim. »
    Voui ces gens c’est ce qu’on appelle la classe modeste monsieur le Bobo.

    « On adore taper sur la France, alors que la France, c’est que 1% des émissions dans le monde. Les Chinois, 28% ! Alors commencez déjà par aller dire aux Chinois d’arrêter de fabriquer des jouets. C’est quand même incroyable de toujours accuser les Français, alors que la démographie est le principal problème ! »
    Bon là c’est vrai, tout est vrai, c’est le seul argument qui n’est pas pipoté. Ce que les écolos n’osent pas dire franchement c’est que la sobriété écologique ne peut se faire sans sobriété économique (tous le même salaire, sans aucune exception) et donc à un moment donné l’écologie devra passer par une lutte des classes mondiale.

    « Les évènements météorologiques font moins de morts maintenant qu’en 1920, c’est bien la preuve qu’on s’est adaptés ! »
    Cela veut surtout dire qu’en 1920 on n’était pas du tout adapté. C’est comme les maladies, cela ne veut pas dire qu’il y en avait plus avant à cause du nombre de morts, c’est juste qu’on ne savait pas les soigner à cette époque. Cela ressemble à une réflexion faite par un personnage du jeu « Fallout » (où les humains restant vivent dans des bunkers après une guerre nucléaire pour les ressources) qui disait que le monde n’a jamais été aussi sûr grâce aux bunkers. Oui l’humain s’est adapté… c’est sûr.

    « Je la rejoins totalement lorsqu’elle a récemment refusé d’interdire la publicité pour les SUV, en donnant sa confiance aux constructeurs automobiles. »
    La construction d’un SUV pollue tellement que pour rentabiliser écologiquement le véhicule il faudra le garder 40 ans. L’ère est aux petites citadines, le SUV est une relique des années 70, une époque où avec sa chemise pelle-à-tarte, ses pantalons patte d’eph, et sa tonne de chaines blingblings autour du cou on frimait dans sa grosse voiture de type 4×4 SUV ou Range Rover. Sauf que cette époque est passée depuis 50 ans et qu’il faut aller de l’avant. Du coup les constructeurs qui ont continué bêtement la fabrication de ces véhicules se sont retrouvé avec des parks d’invendues aussi grand que des villes entières. Mais il a suffit d’une campagne de pub pour vider ces parks et que les gens en redemandent. La manipulation mentale a fonctionné trop bien. Mais cela oblige les villes à mettre des ralentisseurs de la taille de petites montagnes qui bousilles les citadines, simplement à cause d’une poignée d’imbéciles qui roulent en SUV. Oui cela aurait été plus intelligent de les interdire.

    « Vouloir autre chose, c’est abandonner les pauvres… Ce qu’il faut, c’est une vraie taxe carbone. Evidemment, ça ne va pas plaire à tout le monde… à commencer par les gilets jaunes. »
    Tout et son contraire, tu te contredis en l’espace de deux phrases. La taxe carbone fera très mal aux gens les plus modestes Monsieur le bobo, sauf si elle est ajustée en pourcentage sur le salaire de chacun. Ce devrait d’ailleurs aussi être le cas des P.V., car tandis que certains prennent des crédits à la consommation pour payer une seule amende, pour d’autres cela représente juste un pourboire et ils s’en foutent de griller des feux. Si tu dis à quelqu’un comme toi qui prend l’avion tous les week end, que la taxe carbone va te bouffer 40 % de ton salaire, et qu’à un Smicar avec sa Fiat sans plomb que sa taxe carbone va lui coûter 2 % du sien, tu vas rapidement changer des habitudes de vacances. Mais bien sûr aucun politicien ne va oser faire ça.

    Je te rappelle au passage que l’histoire a donné raison aux Gilets Jaunes. Car ce mouvement a milité pour les plus modestes (plus de justice sociale afin d’empêcher la saturation des « Restos du Coeur » et autres organismes), pour le corps médical (plus de moyens médicaux en cas de pandémie), pour les petits producteurs (moins de délocalisations en cas de guerre), pour le corps enseignant (plus de laïcité, de sécurité, en cas de dérives de type secte), pour les indépendants (dont les années de travail ne sont pas ou très peu comptabilisées pour la retraite)..ect…. Et c’était avant la pandémie, la guerre en Ukraine, les assassinas de profs, la révolte des retraites. Comme quoi les politiciens auraient dû écouter les Gilets Jaunes au lieu de les tuer (100 morts), de les estropier (1000 hospitalisations graves), de les arrêter (10 000 arrestations abusives). Le carnage continue pourtant encore avec l’A69 et les luttes contre les méga bassines (qui piochent directement dans les nappes phréatiques). Et tu oses, tu oses parler de la dictature des écolos ?!!!!

    Thomas Wagner Réveille toi !!! On est en dictature, la Plutocratie est une dictature déguisée en démocratie. Je préfère largement celle des verts.