Après plusieurs jours de négociations à Genève, les 195 pays membres du GIEC ont approuvé mercredi, un nouveau rapport sur la sécurité alimentaire, la dégradation des sols, la désertification, la gestion et l’utilisation durable des terres. Comme le préconisaient déjà de précédents rapports, l’accent a été mis sur des pratiques dites traditionnelles. Et, selon Eric Schmidt, directeur de l’Institut de l’Agriculture Durable, ces dernières ne sont pas synonymes de “retour en arrière” mais d’un “retour au bon sens”. Agroforesterie, rotation des cultures, ou encore couverture des sols, découvrez dans cette vidéo réalisée par le Huff Post, l’ensemble de ces méthodes d’autrefois qui pourraient bien revenir en force cette année.
6 commentaires
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André SCANGA
– Nous sommes toutes et tous sur la même planète, donc la santé de celle-ci influe sur les humains, les animaux, les forêts, les cultures. Si une part est de la responsabilité des Nations dans le monde, le reste dépend de nos comportements collectifs et individuels. Agissons en qualité de citoyennes / citoyens, d’organisations politiques, associatives et syndicales. Le monde de demain sera en fonction de ce que nous en faisons aujourd’hui – / – Agence Populaire pour le Développement des Quartiers – / – 2019.08.09 – Marseille / Bouches du Rhône – / –
Michel CERF
Vous avez raison mais ces problèmes ne datent pas d’hier et le mal est fait ce qui rend la tâche peu réalisable .
Meryl Pinque
Le progrès était donc dans le passé, ou l’art de découvrir que les techniques traditionnelles d’agriculture étaient meilleures que celles d’aujourd’hui.
Seul hic et pas des moindres : l’exploitation animale est toujours présente…
Francis
Ce n’est pas un hic: la permaculture ne peut pas exister sans animaux.
Michel
Mais les animaux peuvent exister sans permaculture .
Ponleve
Et l’Homme est aussi un animal