Lier la crise de l’emploi et celle de l’environnement pour repenser notre rapport au travail, c’est le pari de Will Stronge, qui codirige le think tank « Autonomy » spécialisé sur l’avenir du travail. Mettant en valeur une corrélation entre le temps de travail et les émissions carbone, il montre que notre manière de travailler n’est pas durable et affirme qu’il faudrait passer moins d’heures au travail. Ce projet de changement radical qu’il qualifie lui-même de « provocateur » est décrit dans cet extrait d’un reportage d’Arte et confronté à l’avis de différents sociologues.
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michel CERF
Le problème est de savoir si le temps libre est utilisé intelligemment , dans une démarche écologique , j’en doute un peu …