Début août, le gouvernement a annoncé viser à une modification de la loi interdisant les insecticides néonicotinoïdes, votée en 2016, pour les réautoriser sur les betteraves. Cette loi avait été à l’origine de Barbara Pompili, aujourd’hui ministre de la Transition écologique, qui a depuis fait marche arrière. Cette vidéo de Brut revient sur ce changement de cap concernant les insecticides « tueurs d’abeilles », et les raisons avancées par la ministre. Du fait du réchauffement des températures hivernales, les populations de pucerons affectant les betteraves n’ont pas été régulées, ce qui met en péril cette production pour laquelle la France se place en première position, au niveau européen. Cependant, cette réautorisation pose un danger grave pour la biodiversité.
6 commentaires
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Méryl Pinque
Ma question à Pompili : arrivez-vous à vous regarder en face dans un miroir ?
Michel CERF
Je pose à Ponpili la même question .
Francis
Un semis de betteraves avec les graines enrobées de gaucho, c’est 10 grammes de gaucho à l’hectare. L’année suivante, on cultive du blé, une plante que les abeilles ne butinent pas.
cerf
quelle tristesse d’en arriver à une telle décision. il faut croire que les industriels de la chimie sont les plus forts c’est pitoyable.
cerf philippe
misérable il faut être droit dans ses botes il faut croire que les industriels de la chimie sont les plus forts pitoyable
Michel CERF
Si l’année suivante on cultive du blé il est sans doute à son tour arrosé d’insecticides , quant aux abeilles elles ne le butinent pas d’autant plus qu’elles sont mortes l’année précédente .