3 espèces de poissons peuvent de nouveau être observées dans la Seine. Interviewé par Brut, Bill François, auteur scientifique sur le milieu marin, se réjouit du retour des aloses, brochets, et silures à Paris. Ce rebond de la biodiversité est le fruit d’efforts d’assainissement des eaux mis en place dans les années 1980. En effet, avec l’industrialisation et la pollution des eaux qui l’a accompagnée, les populations de poissons ont fortement décliné. En 1970, la Seine ne comprenait plus que 3 espèces. François alerte quand même sur le fait que beaucoup reste à faire car la Seine est encore très polluée, notamment par le plastique.
4 commentaires
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Patrice DESCLAUD
Parfois une bonne nouvelle, ouf. Ces espèces ont la peau dure pour résister aux pollutions de la Seine (y compris celles des bétonneurs …). Ce doit être l’amont qui y a le plus contribué.
pichon
Pour l’alose c’est une bonne nouvelle,pour le silure on peut être plus réservé !
Michel CERF
Bonne nouvelle , quant au silure , partout ou il vit les autres espèces n’ont pas disparues , la nature sachant toujours se réguler elle même .
Méryl Pinque
Ah bon, il y a des efforts de préservation des animaux et de la flore ?…
Je n’étais pas au courant.
En outre, tant qu’on emploiera le terme technocratique de « biodiversité », on oubliera qu’elle est composé de personnes animales pourvues de droits fondamentaux inaliénables.