Des pesticides courants causent la mort des larves d’abeilles dans la ruche

FRANCE, Saint-Loup-Terrier : Des abeilles se nourissent du miel contenu dans les alvéoles de cire d'un cadre de ruche, le 02 juillet 2001 dans le rucher école de la Cour du Roi à Saint-Loup-Terrier. Le rucher école sert à l'apprentissage de l'apiculture lors de stages proposés par l'Office du tourisme des Ardennes.
Des abeilles se nourissent du miel contenu dans les alvÈoles de cire d'un cadre de ruche, le 02 juillet 2001 dans le rucher Ècole de la Cour du Roi ‡ Saint-Loup-Terrier. Le rucher Ècole sert ‡ l'apprentissage de l'apiculture lors de stages proposÈs par l'Office du tourisme des Ardennes.
FRANCE, Saint-Loup-Terrier : Des abeilles se nourissent du miel contenu dans les alvéoles de cire d'un cadre de ruche, le 02 juillet 2001 dans le rucher école de la Cour du Roi à Saint-Loup-Terrier. Le rucher école sert à l'apprentissage de l'apiculture lors de stages proposés par l'Office du tourisme des Ardennes.

Quatre pesticides couramment utilisés pour tuer les insectes et les champignons qui détruisent les cultures, menacent également la survie des larves d’abeilles pourtant à l’abri dans leur ruche.

C’est une équipe de chercheurs de l’université de Floride qui a fait la découverte, note phys.org. Ces pesticides  ne représentent pas de menace pour les abeilles adultes et donc ont été autorisés à la vente. Mais ils sont à l’origine de la mort des larves d’abeilles.

C’est en butinant des cultures traitées que les abeilles récoltent puis transportent les pesticides jusqu’à la ruche. Une fois dans la ruche, les abeilles mellifères se servent de ce pollen pour nourrir les larves. Bien que les pesticides récoltés par les abeilles adultes ne leur fassent pas de mal, ils menacent la survie des larves et donc, à terme, celle de la population d’abeilles. Selon Chris Mullin, professeur d’entomologie en charge de l’étude publiée dans Plos One, « les résultats montrent que les pesticides courants, chlorothalonil, fluvalinate, coumaphos et chloropyrifos, individuellement ou combinés, impactent de manière significative la survie des larves d’abeilles ». Et de continuer « cette étude est la première a montrer les effets toxiques importants de ces pesticides courants à des doses semblables à celles retrouvées dans les ruches actuellement ».

Aux Etats-Unis, où cette étude a été réalisée, l’Agence de Protection Environnementale autorise les pesticides qui n’ont pas d’impact sur les abeilles adultes. Elle ne prend pas en compte l’action des pesticides sur les larves d’abeilles ni l’action des pesticides une fois ces derniers mélangés dans la ruche. Rappelons que l’Union Européenne a interdit l’an passé et pour une période de 2 ans, l’utilisation de trois pesticides dont l’impact sur les abeilles ne pouvait être prouvé de façon certaine

4 commentaires

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  • bonjour , effectivement il y a eu interdiction de l’ue d’utiliser pendant 2 ans tout pesticide au niveau mondial , accord rapporter par le ministre de l’agriculture , malheureusement monsantos a fait virer cette convention a son grand profit et a celui de son comparse suisse , a eux deux ils représantes l’extinction de nos abeilles car ils ont déjà les formules pour mettre en vente des graines (et uniquement leurs graines ) en disant que nous n’auront plus besoins de nos abeilles ( cela ce passe déjà en amérique ) monsantos assigne en justice les agriculteurs qui ont garder et utilise leur propre graines eh oui . . . c’est le suisse dont je ne me souviens plus le nom mais il dirige ( nestlé )c’est cet individu qui vends le ( paraquate ) aux planteurs de palmiers dont les employés (anciens propriétaires ) des terres qui ont été expulser et contraints a l’esclavage pour pulvériser ce poison tous les jours , ces employés esclaves en meurt a cause que leurs poumons sont très rapidement détruis par cette substance , donc lorsqu’un employé commence sa maladie des paumons c’est nestlé qui leur vends leur lait concentrer sucrer (en que médiment )informez vous svp et lancez une énorme pétition mondiale contre ces individus qui commentes la destruction de 700.000ht de forêts tropicales , il n’y a pas d’effets sans causes
    a bientôt de vos bonnes nouvelles

  • […] Quatre pesticides, couramment utilisés pour tuer les insectes et les champignons qui détruisent les cultures, menacent également la survie des larves d’abeilles  […]

    • Huteau

    Eradiquons en premier la dictature libérale et après , peut être on pourra parler de protection de l’environnement. Pour cela, déférons les 1% les plus riches de l’humanité devant le TPI pour crime contre l’humanité.

  • […] C’est une équipe de chercheurs de l’université de Floride qui a fait la découverte, note phys.org. Ces pesticides ne représentent pas de menace pour les abeilles adultes et donc ont été autorisés à la vente. Mais ils sont à l’origine de la mort des larves d’abeilles. C’est en butinant des cultures traitées que les abeilles récoltent puis transportent les pesticides jusqu’à la ruche. Une fois dans la ruche, les abeilles mellifères se servent de ce pollen pour nourrir les larves. Bien que les pesticides récoltés par les abeilles adultes ne leur fassent pas de mal, ils menacent la survie des larves et donc, à terme, celle de la population d’abeilles. Selon Chris Mullin, professeur d’entomologie en charge de l’étude publiée dans Plos One, « les résultats montrent que les pesticides courants, chlorothalonil, fluvalinate, coumaphos et chloropyrifos, individuellement ou combinés, impactent de manière significative la survie des larves d’abeilles ». Et de continuer « cette étude est la première a montrer les effets toxiques importants de ces pesticides courants à des doses semblables à celles retrouvées dans les ruches actuellement ».  […]