C’est pas la fête à Pékin

Parce que les pétards et feux d’artifices augmentent la pollution de l’air, les autorités de Pékin appellent les habitants à en restreindre l’usage lors des célébrations à venir du Nouvel An Chinois. Voire à ne pas en tirer du tout pour préserver la qualité de l’air. En effet, « après une heure de feux d’artifice lors du réveillon en 2012, un capteur de pollution de l’air situé en centre-ville a mesuré une densité de particules fines PM2.5 qui a atteint 1593 microgrammes par mètre cube d’air soit 1,5 fois plus que ce qui est enregistré lors des pics de pollution cette année à Pékin. Le smog qui a sévi durant tout le mois de janvier, a alimenté le débat sur l’usage des feux d’artifice lors de la fête du printemps », rapporte le site China Daily le 2 février. Le nombre de revendeurs autorisés à commercialiser ces produits a été réduit de 1429 en 2012 à 1337 cette année. Surtout, la capitale chinoise fait face à une importante pollution atmosphérique ces derniers jours. Le Nouvel An sera célébré le 10 février 2013.

Ecrire un commentaire

Dépolluer l'Europe des PFAS coûterait entre 95 et 2.000 milliards d'euros en 20 ans, selon une enquête

Lire l'article