En 2008, 297 millions de femmes et 205 millions d’hommes étaient obèses, soit un peu moins d’un être humain sur 10. « Dans le monde, en 2008, 9.8% des hommes et 13.8% des femme étaient obèses (c’est-à-dire avec un indice de masse corporelle supérieur à 30kg/m2avaient un indice), contre 4.8% des hommes et 7.9% des femmes en 1980 », rapporte le site Science Daily le 4 février. Ces résultats ressortent d’une étude publiée dans la revue Lancet sur les facteurs de risques de maladies cardiovasculaire. L’étude apprend aussi que la proportion de personnes souffrant d’hypertension à diminué. Le nombre de personnes affichant un taux de cholestérol trop élevé augmente en Asie mais diminue en Europe et en Amérique. Le professeur Majid Ezzati du collège impérial de Londres qui a conduit l’étude constate : « C’est encourageant de voir que de nombreux pays sont parvenus à réduire les problèmes liés à la pression sanguine et au cholestérol malgré une hausse de l’indice de masse corporelle. Sans doute une meilleure surveillance et de meilleurs traitements ont réduit l’incidence de ces facteurs dans les pays riches, comme le fait d’utiliser moins de sel et des graisses non saturées. »
L’obésité a doublé dans le monde en 30 ans
En France, la loi évolue pour faciliter la réutilisation des eaux usées
Le chercheur à l’IRD Oumarou Malam Issa à propos de la COP16 sur la désertification : « un changement de regard sur la problématique de la dégradation des sols »
Quelques idées pour glisser de l’écologie et du sens dans les fêtes de Noël et de fin d’année
Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
3 commentaires
Ecrire un commentaire
albert heijn
santé
Et si on réduisait la pub pour la junk food?
MiloudT
Et les sources dans tout ça ?
J’aurai aimé que les sources apparaissent, est-ce que c’est une étude réalisée par l’OMS ? par vos services ? Bref je este un peu dans le flou ….
Julien GOODPLANET
@ MiloudT souces
La source du papier est indiqué dans l’article : science daily, ils vous suffit de cliquer dessu pour trouver l’article qui a servi de base à la rédaction de sujet.
Cette étude est parue dans la revue médicale the lancet , vous trouverez le détail à cette adresse
http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736%2810%2962037-5/fulltext
L’équipe chargée de l’étude à été dirigé par un professeur du college impériale de Londres, ils ont travaillé en collaboration avec l’OMS