Tous les ans, 3 millions de mètres cube de sable sont prélevées en France. Est-ce que cette exploitation menace le sable des plages ? Laure, ingénieure géologue répond l’IFREMER sur le devenir du sable et des plages. Plus que l’exploitation du sable, c’est l’érosion du littoral avec le réchauffement climatique qui menace les côtes du pays.
4 commentaires
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Jean Grossmann
généreuse planète
DESCLAUD Patrice
Très bien cette vidéo : pédagogique, modérée, véritable alerte. Mais il faudrait distinguer les divers types de sables (siliceux, de rivière, coquillier …) et par exemple rappeler les usages (BTP, agriculture, alimentation…).
Le sable des déserts (type Sahara par exemple) ne convient pas au béton (un des usages féroce du sable) car l’érosion éolienne a tellement arrondi et amaigri ses grains qu’ils flottent et ne se mélange pas.
Le sable coquillier (utilisé comme intrant dans l’agriculture, ou apport calcique également dans des « recettes » d’alimentation pour le bétail) est plus rare, met 10 000 ans à se constituer (donc pas renouvelable à l’échelle humaine) et abrite jusqu’à des profondeurs de 50 m (proximité du littoral) une vaste biodiversité à protéger (cas de la Bretagne par exemple).
Cordialement,
Patrice
Venner
Bien vu Patrice.
On est d’accord.
Didier de la compta
Stylé le chateau de sable !