Pour des politiques fiscales plus vertes

Les politiques fiscales jouent un rôle déterminant dans la transition écologique. Aujourd’hui, les États accordent pour près de 490 milliards de dollars de subventions aux énergies fossiles contre seulement 112 milliards de dollars investis dans les renouvelables, d’après l’UNEP (le programme des nations unies pour l’environnement). Cette vidéo présente des mesures prises par les gouvernements pour mettre en place une fiscalité verte.  Aux Pays-Bas, des mesures fiscales incitent à réduire la consommation et la pollution de l’eau tandis qu’en Thaïlande les autorités sont parvenues à réduire la pollution de l’air. Attribuer une valeur aux ressources permet de les employer plus efficacement. Les recettes d’une éventuelle taxation peuvent être réinvesties dans des projets de développement durable, aussi créateurs des nouveaux emplois, comme en Allemagne où les taxes sur l’énergie financent les renouvelables.

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  • Compte tenu des avantages essentiels de la « Solar Water Economy » décrite dans le livre « La chaleur renouvelable et la rivière » édité par la SDE Balendard n’a à vrai dire pas pu expliquer pourquoi dans un pays de technologie comme le nôtre les nouvelles chaines énergétiques de cette SWE ont été si longtemps tenue à l’écart compte tenu de leurs avantages pour le chauffage collectif de l’habitat et le transport urbain individuel. Il a un moment tenté de l’expliquer au travers des lobbies pétroliers conjugués à une sorte d’aveuglement de la classe politique. En prenant connaissance des informations de l’ONU concernant cette aide de près de 500 milliards d’€ à la production des produits pétroliers alors que l’on parle d’une assistance de 100 milliards d’€ aux pays qui en subissent les conscéquences il se dit qu’il y a quelque chose qui cloche sur ce bas monde. Ceci d’autant qu’à l’ère du réchauffement climatique et de ses lourdes conscéquences sur notre futur immédiat ces nouvelles chaine énergétique ont tendance en prélevant de l’énergie thermique dans notre environnement à le refroidir plutôt qu’à le réchauffer comme le fait la combustion. Évoluer vers ces nouvelles chaines énergétiques pour assurer le chauffage de l’habitat et le transport urvain individuel en mettant conjointement en place les infrastructures comprenant principalement des réseaux de tuyauteries d’alimentation en eau non potable des immeubles et des toits voltaique les abritant permettrait en créant de l’emploi d’améliorer nos conditions d’existence et de participer effectivement à l’atténuation climatique.