En Guyane, les savanes sèches occupent 0,3 % du territoire et accueillent près d’un cinquième de la flore guyanaise. Pourtant, comme la forêt amazonienne qui les entoure, ces clairières de biodiversité font face à un avenir incertain. Grignotées par l’activité humaine qui s’étend sur le littoral ou envahies par de nouvelles espèces d’arbres exotiques, leur survie est un défi relevé par le programme européen de préservation des milieux LIFE BIODIV’OM .
2 commentaires
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FOUTHIER
La France doit montrer l’exemple après la condamnation du Brésil.Les peuples premiers p(amérindiens)devraient avoir des représentants au parlement Français
Eux seuls peuvent dire ce qu’ils veulent pour la Guyane et rien ne devrait se faire sans leur aval
steeve
le projet est pas mal du tout