Les combats et les joies d’un parent d’enfant autiste

Didier a un enfant handicapé par l’autisme de naissance. C’est un combat de tout les jours, celui d’être père, de l’accompagner. C’est aussi une joie de tout les jours, des moments uniques entre un père et un fils.
Le 2 avril, c’est la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, une maladie encore mal comprise, pour laquelle il n’existe encore aucun traitement et qui touche environ 1 % de la population.

Un commentaire

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    • Robert BIGEAT

    Comme l’autisme, même s’il y a probablement toujours eu des cas isolés, n’a pris cette ampleur, et qui continue à croître, qu’à notre époque d’une part et dans les pays développés d’autre part, l’évidence s’installe qu’il s’agit d’une conséquence environnementale de notre cadre de vie.
    Il s’agit d’un défaut de développement du cerveau du foetus, soumis à une agression perturbatrice extérieure, et, au premier rang des suspects, puisque l’émergence à commencé dès les années 1920 avec l’électrification et l’usage de la voiture à essence, figurent forcément, les champs électromagnétiques.
    Seulement cette vérité de base dérange beaucoup de monde et pas seulement les industriels dont les activités génèrent des champs électromagnétiques, donc cette vérité élémentaire est étouffée, niée, et c’est devenu « tout ce que vous voudrez, sauf les champs électromagnétiques ».
    Il existe au moins une protection accessible, l’emploi de blindages en mu-métal, mais, aucune recherche de type médicale ne peut être menée pour l’établir, les financements, curieusement, et au dernier moment, faisant défaut.
    Il y a donc une volonté évidente d’étouffement systématique de la vérité sur la cause première et fondamentale de l’autisme.