Le tourisme : une menace pour l’Antarctique

Selfies avec des manchots, baignades dans l’eau glaciale, photos de mariage sur la banquise… ils sont de plus en plus nombreux à visiter l’Antarctique. Le nombre de touristes a été multiplié par 8 en moins de 15 ans. Les visiteurs se rendent principalement dans les zones non recouvertes de glace de façon permanente, qui représentent moins de 1 % de la surface de l’Antarctique. Ces zones abritent la plupart de la faune et la flore répertoriées sur le continent. Mais elles sont aussi parmi les moins protégées de la planète. Dans cette vidéo, Brut nous en dit plus sur ce nouveau phénomène.

5 commentaires

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    • Pinque

    Que l’humain est minable.

  • On voit bien que ceux sont principalement des touristes CHINOIS en grand nombre. Toujours eux qui commettent l’irréparable : achétent les défenses d’ivoire des éléphants sauvagement tués, mangent du chien et du chat, achétent les cornes des derniers survivants rhinocéros, vont importer de façon gigantesque le boeuf brésilien ainsi que le soja brésilien, achétent les ailerons de requins qui sont massacrés sauvagement, …et maintenant ils se pavanent en antarctique alors que les derniers ours blancs sont en train d’agoniser de faim sous nos yeux ! OU VA CE MONDE ! ! !

      • le Penru

      La sagesse chinoise ?! Elle a bien fichu le camp !!!
      Oui c’est à vomir ! Et bien sûr ils vont laisser leurs déchets comme le font les « grimpeurs » de l’Everest, que je n’admire même pas car tous ces soit disant « exploits » ont seulement pour but de flatter leur ego !!

  • Croisières Antarctiques de la dévastation ! Une meute humaine semble prendre un plaisir particulier, suicidaire au réchauffement, à l’effondrement des glaces polaires. Elle envahie, se dénude, se baigne au milieu du désastre, savoure une dernière fois les miettes. Hilare, la mine réjouie, elle pressent et goûte son agonie promise, sa mort annoncée. Apocalypse heureuse, presque consentie. C’est consternant, c’est abject, c’est une ultime soumission aux Marchands. Mourir en vacances, piétiner de bon coeur la Banquise, bousculer plus au sud les fragiles fondations de Venise de la pointe acérée d’une étrave de paquebot géant, humilier la déchirante beauté du monde, empoisonner ici les miraculeuses présences animales en perdition…

    • Michel CERF

    Je ne peux que m’associer à tous vos commentaires , rien à ajouter .