Yann Arthus-Bertrand parle de l’exposition « France, un album de famille » et propose d’en découvrir quelques images

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Du mardi 20 octobre au dimanche 2 novembre 2025, l’Hôtel de Ville de Paris accueille dans ses salons d’honneur, exceptionnellement ouverts au public, une grande exposition gratuite consacrée aux visages de la France d’aujourd’hui, portée par la Fondation GoodPlanet et réalisée par Yann Arthus-Bertrand et Hervé Le Bras.  Yann Arthus-Bertrand explique en vidéo les difficultés de retenir les images sélectionnées pour l’exposition car il aime chacune des 30 0 personnes prises en photo. Découvrez aussi dès à présent quelques-unes des images qui seront exposées. L’exposition est gratuite sur réservation d’un créneau horaire sur le site Internet de la Mairie de Paris.

Informations pratiques pour venir voir l’exposition France, un album de famille à Paris durant les vacances de la Toussaint 2025

Ouverture tous les jours au public du 20 octobre au 2 novembre – À la Mairie de Paris
Horaires de 10h à 19h sauf le mercredi (fermeture à 18h) – nocturnes jeudi 23 et vendredi 31 octobre jusqu’à 21h
Gratuit – réservation sur « France, un album de famille », une exposition de – Ville de Paris

Des images de « France, un album de famille » de Yann Arthus-Bertrand et Hervé Le Bras, présentées durant les vacances de la Toussaint par la Fondation GoodPlanet à la Mairie de Paris

L’école de juristes de Bordeaux a défini le « service au public » par trois exigences : égalité, continuité, mutabilité. “Égalité” car tous les citoyens sont égaux devant la loi ; “continuité” car le service doit toujours être disponible, à l’image des sapeurs-pompiers, du moins ses horaires doivent-ils être réguliers ; “mutabilité” car il doit s’adapter au changement des circonstances. Selon les époques et les pays, d’autres caractères du service au public sont apparus sans être obligatoires : neutralité, laïcité, réserve observée par ses agents. Aujourd’hui, les 199 000 volontaires et les 56 000 pompiers professionnels s’occupent moins d’incendies (270 000 interventions par an) que de secours aux personnes (4,3 millions d’interventions). Ils répondent chaque jour à 50 000 appels (dont 100 fausses alertes) et arrivent en moyenne sur les lieux en quinze minutes. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
Le ou plutôt la fleuriste (75 % de femmes dans la profession) vend des fleurs, le rosiériste (75 % d’hommes), lui, en cultive, en l’occurrence des rosiers. Créer une rose demande des précautions. On extrait du pollen d’une première rose après effeuillage des pétales, on le sèche et on l’insère dans le pistil de la fleur d’un autre rosier pour obtenir un hybride. On extrait les graines du fruit rouge orangé oblong qui en résulte et on les plante. La difficulté se trouve, dans l’obtention d’un rosier de qualité et résistant aux intempéries. L’un des plus célèbres créateurs de roses de France et le troisième mondial, Meilland, réalise chaque année plus de 100 000 hybridations à partir de sa collection de 1 500 géniteurs élaborés par lui ou venus du monde entier. Les rosiers obtenus sont suivis pendant une dizaine d’années, au bout desquelles moins de 10 rosiers sont retenus, 1 pour 10 000. Ils sont alors multipliés dans d’énormes proportions : Meilland produit 12 millions de rosiers chaque année. Il est par ailleurs préférable de s’offrir des fleurs produites localement. Aujourd’hui, beaucoup des fleurs vendues proviennent du Kenya. L’impact de l’achat de fleurs de pays lointains est doublement négatif : d’une part, l’empreinte carbone de ces fleurs est très élevée, d’autre part, cela a des conséquences négatives sur la faune et la flore de ces pays. Ainsi, comme nous essayons de privilégier la slow-fashion, privilégions la slow-flower. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
La féminisation des magistrats se poursuit à vive allure, les hommes étant maintenant minoritaires. Cependant, plus on s’élève dans la hiérarchie, plus la proportion de juges femmes décroît. Si elles constituent 58 % des juges de première instance, elles sont 52 % en seconde instance et 42 % dans les cours suprêmes. Et moins nombreuses encore parmi les présidents de tribunal et les procureurs (36 % dans les cours suprêmes). Cela peut s’expliquer : la féminisation progressant, elle est plus importante dans les générations jeunes, donc dans celles qui sont en début de carrière. L’égalité sera peut-être atteinte dans les postes supérieurs dans quelques années et certainement dépassée aux autres niveaux. En effet, les élèves de l’école de la magistrature sont en grande majorité des femmes, la promotion 2022 ne comptant que 46 hommes sur 206 élèves, et les classes préparatoires présentent la même proportion. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
En 1920, chaque Français consommait en moyenne 630 grammes de pain chaque jour, en 1946, 350, et aujourd’hui, 100. Cela aurait dû considérablement réduire le nombre de boulangeries. Or, si les 45 000 magasins recensés en 1946 n’étaient plus que 33 000 en 2000, la profession a rebondi à 39 000 en 2023. Certes, les 3 milliards de baguettes consommées chaque année peuvent impressionner, de même que les 12 millions de clients qui fréquentent chaque jour les boulangeries, mais le secret de la reprise est ailleurs. Les boulangeries ont su garder la maîtrise de la vente grâce à l’obligation qui leur est faite de cuire elles-mêmes leurs pains, comme l’impose un décret de 1997. Ce faisant, elles assurent encore 63 % de la production, 22 % revenant aux grandes surfaces, 13 % à des chaînes de franchise, 2 % aux marchés. Elles ont aussi diversifié leurs produits pour s’adapter à l’évolution des mœurs, en proposant des sandwichs, des pizzas et autres quiches, si bien que le pain proprement dit ne représente plus que 40 % de leurs ventes. Ce pain dont elles ont aussi multiplié les variétés. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
Anthony Marmeys est l’un des quatre exploitants de la ferme Laurency à Saint-Usuge. Les 40 hectares de céréales qu’il cultive servent à nourrir son élevage de poulets de Bresse. Il compte parmi les 130 éleveurs qui produisent cette volaille au plumage blanc, aux pattes bleues et à la crête rouge, une sorte de drapeau français, munie d’un label d’appellation contrôlée et protégée, qui est appelée la “reine des volailles”. Les quelque 800 000 poulets de Bresse ne représentent qu’un millième des 770 millions de poulets produits en France en 2023 par 48 000 exploitations. Ce nombre qui peut paraître énorme ne suffit pas à nourrir les Français, lesquels consomment de plus en plus de poulets. Ils en importent 800 millions de Pologne, de Belgique, surtout, et en exportent 500 millions. La filière est sous le coup d’une double menace, d’une part de la concurrence de l’Amérique du Sud en raison du traité Mercosur et, d’autre part, à cause du projet d’installation de gigafermes en Croatie qui produiraient, à bas prix, 190 millions de poulets dans des batteries de 2 millions de volailles. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
Les agentes de collecte des déchets sont rares. Aujourd’hui elles représentent 3 % des effectifs, à cause d’un certain esprit viril qui anime les équipes, des horaires peu propices à la vie familiale et de la pénibilité de la gestion des déchets, qui une fois collectés suivent un parcours bien précis. Le cycle des matériaux se poursuit à mesure que les artefacts qui les contiennent vieillissent. Il vient un moment où leurs propriétaires s’en débarrassent en les vendant à des commerces de seconde main, des fripiers, des brocanteurs, qui les remettent sur le marché ou qui les jettent quand leur usure irrémédiable les rend inutiles. De nouvelles entreprises les démontent pour en recycler certains composants, ou bien ils sont évacués grâce à l’intervention d’éboueurs et d’égoutiers qui les renvoient dans le monde inanimé d’où ils ont été extraits, mais en bien moins bon état : en déchets souvent polluants. L’ethnologue et essayiste Mircea Eliade a rappelé que les Anciens croyaient en un cycle de vie des minéraux et des métaux sous terre. La pierre devenait lentement fer, et le fer, encore plus lentement, or, transmutation que les alchimistes cherchaient à accélérer. Dans la société moderne, l’homme a remplacé sur Terre le travail de la nature souterraine, mais, au lieu que le stade final soit l’or, il est souvent l’ordure. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
On peut comparer l’attrait qu’exercent les huîtres à celui du vin. Leur culture est délicate, depuis la capture du naissain sur des lattes ou des tuiles d’où les jeunes coquilles seront ensuite détachées et mises dans des poches pendant quelques années, puis affinées, souvent dans des eaux mi-douces, mi-salées, les “claires”, d’où le nom des huîtres qui en proviennent. L’environnement, la salinité, la température, tout contribue à une grande variété de saveurs comparable aux bouquets des vins. Les huîtres de Bouzigues, celles d’Arcachon, de Marennes, les belons, les plates d’Erquy, celles de Saint-Vaast, toutes se distinguent. La côte nord de la Bretagne, de Cancale à Paimpol et Morlaix, produit 6 000 tonnes d’huîtres par an, mobilisant 250 producteurs et 700 travailleurs permanents, ce qui représente un douzième du total pour la France. La profession est décentralisée. Comme pour la vigne, les ostréiculteurs se groupent en syndicats locaux et privilégient les circuits courts pour écouler leurs bourriches. Même si la France est de loin le premier producteur européen avec 82 000 tonnes en 2022, elle est loin derrière la Chine (5,4 millions de tonnes) : un Chinois consomme 3,3 kilogrammes d’huîtres chaque année, un Français, 1,1. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
Face à la pénurie de main-d’œuvre dans des filières industrielles et commerciales, par une loi de 2017, l’État a élargi et consolidé les conditions d’emploi des apprentis en alternance, qui travaillent en entreprise ou dans une administration en même temps qu’ils étudient. Les entreprises de plus de 250 salariés sont obligées d’employer au moins 5 % d’alternants. Les employeurs reçoivent une prime de 6 000 euros par contrat d’alternance, lequel stipule le temps de travail, le nom du maître d’apprentissage et le salaire, fixé selon une grille allant du quart à la totalité du Smic. Une fois les décrets d’application publiés, le nombre de contrats d’alternants, qui stagnait depuis longtemps autour de 300 000 par an, a bondi pour atteindre 850 000 en 2023. 40 % sont conclus dans des entreprises de moins de 10 employés, principalement dans le commerce et la réparation. L’industrie et les travaux publics prennent de leur côté le quart des alternants. Le succès de la formule ne tient pas seulement aux avantages offerts par la loi, mais aussi à son rôle dans l’accès à un emploi permanent : 60 % des alternants sont engagés définitivement par l’entreprise où ils ont été en apprentissage. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
En 2023, 28 500 policiers municipaux opéraient dans 4 600 communes sur tout le territoire national. Si l’on prend la ville de Saint-Tropez comme exemple, elle est l’une des villes de France les plus sécurisées avec 55 policiers municipaux et 22 personnels de surveillance, outre 250 caméras installées. Elle est en effet la 67e ville disposant du plus fort effectif de policiers. Ces chiffres signifient que la municipalité compte 16 policiers pour 1 000 habitants. À l’échelle de la France entière, une telle proportion donnerait un peu plus de 1 million de policiers municipaux (1 070 000 exactement). Grâce à sa police, la ville de Saint-Tropez est-elle sûre ? Non, elle enregistre des proportions de violences sexuelles, d’usage de stupéfiants, de dégradations volontaires par habitant 4 fois supérieures à la moyenne nationale, et de vols sans violence, 9 fois. Faudrait-il recruter encore plus de policiers ? Si Louis de Funès et sa brigade de gendarmes en Citroën 2 CV revenaient au monde, ils seraient sans doute surpris par l’évolution de la criminalité, et par celle de la police dans cette ville. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
61 000 exploitations sont engagées dans l’agriculture biologique. Elles occupent désormais 9 % de la surface cultivée en France. Leur progression a été foudroyante : 350 000 hectares en 2000, 800 000 en 2010, 2,8 millions en 2023. Elles représentent 39 % de la production de légumes secs, 29 % de celle des plantes aromatiques et médicinales, 21 % des vignes et 7 % des fruits. Elles bénéficient de la loi Egalim, qui exige que 20 % de la restauration collective, dont les cantines scolaires, contienne des produits bio. Malheureusement, ceux-ci coûtent plus cher car ils demandent 30 % de main-d’œuvre supplémentaire par rapport à l’agriculture productiviste, ce qui se répercute sur le prix. De ce fait, avec la crise du Covid et l’inflation qui l’a suivie, les ventes dans les commerces spécialisés ont diminué. La reprise se dessine dans le développement de la vente directe à la ferme ou sur les marchés, dont la famille Hourdequin affiche ici un bel exemple des possibilités et de la qualité. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
Nombre des 21 500 chambres d’hôte se trouvent en dehors des agglomérations. Leurs quelque 60 000 chambres n’entrent donc pas en rivalité frontale avec les 650 000 chambres des 16 600 hôtels de toutes les catégories surtout présentes dans les villes. Les véritables concurrents de l’hôtellerie sont les logements type Airbnb qui s’adressent avant tout au tourisme urbain. Villefranche-de-Rouergue, dans l’ouest de l’Aveyron, où se trouve la maison d’hôte de Siloé, offre un bon exemple de la localisation des chambres d’hôte. 2 seulement se trouvent dans le périmètre urbain, tandis que 9 autres sont à moins de 10 kilomètres dans la campagne ou dans des hameaux. Les chambres d’hôte ont connu un rapide développement du fait de la transformation de l’offre comme de la demande : avec le recul de la mortalité et surtout l’accroissement de leur espérance de vie en bonne santé et de leurs revenus, de jeunes retraités visitent de plus en plus la France profonde. D’autres consacrent leur temps de loisirs à l’aménagement d’une résidence secondaire en chambres d’hôte qui leur procure des contacts que le passage à l’inactivité avait rendus plus rares. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras
La vogue du tatouage s’est développée à toute allure. La vingtaine de salons de tatoueurs des années 1980 est devenue une activité de masse comptant plus de 5 000 officines, lesquelles se présentent désormais comme celles d’artistes tatoueurs revendiquant la pratique d’un dixième art. Le tatouage est peut-être vieux comme l’humanité. On en a trouvé sur des momies égyptiennes et sur Ötzi, l’homme du néolithique dégagé récemment des glaces alpines. Dans de nombreuses civilisations, il servait à indiquer son appartenance, son clan, tout comme les scarifications de certaines ethnies africaines. Son succès récent serait lié à la signification inverse. Il manifesterait le désir de souligner son identité intime, une “extimité”, selon le mot de Serge Tisseron. 32 % des Français de 18 à 35 ans portent un tatouage, mais seulement 1 % des plus de 65 ans. Les femmes sont plus tatouées que les hommes, peut-être pour exprimer que leur corps leur appartient. On peut cependant estimer que le tatouage marque aussi la participation à un groupe, celui de la jeunesse. Comme celle-ci se pose en s’opposant, la prochaine jeunesse trouvera sans doute le tatouage obsolète, ce que redoutent déjà les professionnels qui notent un tassement de la demande. © Photo : Yann Arthus-Bertrand / Texte de la légende : Hervé Le Bras

Depuis plus de 30 ans, Yann Arthus-Bertrand photographie les habitants de la France accompagnés de ceux qu’ils aiment. Ils posent en compagnie de leurs proches, de leurs collègues ou encore de leurs animaux, tous sont capturés sur une même bâche en toile de jute, invités à revêtir leur tenue de travail ou du quotidien. Le photographe réalise ainsi des images simples et authentiques, utiles pour notre mémoire commune. C’est en 2023, à l’occasion d’une rencontre avec Hervé Le Bras, démographe et historien français, que Yann Arthus-Bertrand décide de terminer ce travail photographique et de l’enrichir d’une dimension démographique et pédagogique. Entre 2023 et 2025, 75 studios ont été réalisés à travers la France, pour mettre en lumière la diversité des visages qui composent la France d’aujourd’hui.

[À lire aussi Le démographe Hervé Le Bras, co-auteur de France, un album de famille avec Yann Arthus-Bertrand : « la France, c’est des liens »]

Dans la droite ligne du travail artistique de Yann Arthus Bertrand, la Fondation GoodPlanet a, depuis 20 ans imaginé et produits plusieurs expositions et projets audiovisuels à diffusion nationale ou internationale. A travers ces productions, la Fondation met en avant la beauté du monde, la diversité des êtres humains, les grands enjeux environnementaux et les solutions individuelles et collectives pour un monde plus durable et solidaire.

C’est dans ce contexte que la Fondation GoodPlanet porte aujourd’hui l’exposition “France, un album de famille” de Yann Arthus-Bertrand. En réunissant des portraits venus de tous horizons, elle nous rappelle le vivre-ensemble et notre capacité à nous unir face aux grands défis que nous traversons. A travers 150 photographies, l’exposition propose un portrait lumineux de la France telle qu’elle est : diverse, singulière, solidaire. Le temps d’une visite, elle devient un espace de mémoire, de partage et d’espoir.

Le Studio s’invite au coeur de l’exposition

Pendant deux semaines, Yann Arthus-Bertrand et son équipe seront présents sur les lieux d’exposition avec leur studio photo. Chaque visiteur pourra s’inscrire gratuitement pour tenter de remporter un moment unique et privilégié avec l’équipe du photographe, et ainsi repartir avec sa photo en format numérique.

On a dit aux gens de venir se faire photographier avec les gens qu’ils aiment. je veux photographier une France heureuse !

Yann Arthus-Bertrand

En parallèle de l’exposition, le livre « France, un album de famille » aux éditions Actes Sud et publié le 1er octobre 2025, rassemble plus de 900 photographies de Yann Arthus-Bertrand, éclairées par les textes structurants d’Hervé Le Bras, pour composer l’album de la France d’aujourd’hui. Enfin, le film « France, une histoire d’amour » diffusé à partir du 5 novembre, raconte comment Yann Arthus-Bertrand, accompagné de Michael Pitiot, a sillonné les routes de France à la rencontre de personnes qui cherchent des solutions et qui sont toujours prêtes à prendre soin des autres. Un voyage tendre, chez des Françaises et des Français qui s’engagent et donnent un sens à leur vie.

Pour aller plus loin

Sur le site de la Fondation GoodPlanet  Exposition « France, un album de famille » – Fondation GoodPlanet

France, un album de famille, l’exposition organisée à la Mairie de Paris par la Fondation GoodPlanet du mardi 22 octobre au dimanche 2 novembre. Gratuit, dans la limite des places disponibles, sur inscription à ce lien.

C’est aussi un livre France, un album de famille | Actes Sud

Et aussi un film France, une histoire d’amour en salle le 5 novembre 2025

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