L’annonce prochaine d’un plan de protection de la forêt de Mau accélère paradoxalement la coupe illégale du bois. Des centaines de personnes partiraient chaque jour à l’assaut de la forêt, pour y prendre du bois de chauffe avant que cela ne soit interdit, selon le journal kenyan Busines Daily. La Nema (autorité nationale de gestion de l’environnement) alerte que « les destructions de ces derniers mois ont atteint un niveau sans précédent ». Pourtant, cette forêt assure une grande part de l’approvisionnement en eau douce du pays.
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