Depuis juillet dernier, les voitures électriques Autolib’ parisiennes ne sont plus disponibles pour des raisons économiques. La majorité d’entre-elles est donc aujourd’hui destinée à la casse. Un gâchis, selon certains concessionnaires, qui n’ont pas hésité à proposer ces modèles d’occasion à leurs clientèles. Il vous faudra compter 5000 euros pour acquérir l’un de ces véhicules dont la batterie est garantie jusqu’à 400 000 km. CNews est allé à la rencontre d’un revendeur en Gironde et ce dernier ne semble pas regretter son choix.
La seconde vie des Autolib’ parisiennes
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2 commentaires
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Dehousse
Des voitures promises à la casse … funeste destin.
Mais j’aimerais savoir ce qui était prévu en matière de recyclage. Allons nous assister encore une fois à un cimetière oublié de batteries . Quelles sont les obligations du fabricant de batteries ? Peuvent elles être recyclées ou utilisées autrement ? J’ai en mémoire quelques scandales de montagnes de piles polluantes abandonnées sur des terrains d’entreprises de soit-disant recyclage, et en fait très vite faillies après avoir empoché des subventions.
balendard
Je ressens principalement le triste aboutissement d’Autolib comme une erreur de la classe dirigeante en région parisienne.
Quoi qu’il en soit l’histoire ci-dessous permet de dire qu’au sujet des voitures électriques homo sapiens deviendrait raisonnable
http://www.infoenergie.eu/riv+ener/LCU_fichiers/ESR-voitures-electriques.pdf