La solution est dans l’assiette vous éclaire sur le doggy bag

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Réception sur un terrain de sport à l’ouest de Séoul, Province de Gyeonggy, Corée du Sud (37°34’ N – 126°53’ E). © Yann Arthus-Bertrand
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Réception sur un terrain de sport à l’ouest de Séoul, Province de Gyeonggy, Corée du Sud (37°34’ N – 126°53’ E). © Yann Arthus-Bertrand

Nous lisons beaucoup de choses dans les médias sur l’obligation du doggy bag depuis le 1er janvier 2016, nous tenons à vous apporter des précisions pour comprendre pourquoi cette mesure n’est pas généralisée. En effet, depuis le début de l’année, toutes les entreprises  de la restauration qui produisent plus de dix tonnes de biodéchets (soit 150 à 200 repas par jour) ont l’obligation de mettre en œuvre des procédures anti-gaspillage.

L’une des mesures possibles  est justement le doggy bag. Ce dernier pourrait, selon les estimations, réduire de 50% la quantité de déchets. Il n’est pas mentionné dans la circulaire mais est recommandé par l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie), qui représente 85% des entreprises du secteur CHRD (Cafés, Hôtels, Restaurants et Discothèques).

L’équipe la solution est dans l’assiette

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