GoodNews ! Des sanctuaires animaliers Japonais recueillent lapins, chats et renards


fixiland_2-e1423921191576

La Fondation GoodPlanet vous raconte la bonne nouvelle de la semaine : ces sanctuaires animaliers japonais recueillent lapins, chats et renards.

À mille lieues de l’image négative tristement renvoyée par la chasse à la baleine, l’archipel japonais se montre, à certains égards, un véritable sanctuaire pour animaux sauvages. Ainsi, plusieurs sites ont fait le « buzz » dans le monde entier pour abriter une population sauvage de lapins, de chats, ou encore de renards. Petit tour d’horizon de ces havres de paix où ces espèces vivent en toute liberté.

Zao Fox village, sanctuaire des renards

Au nord-est de l’île, situé dans la préfecture de Myagi, le village des renards est devenu une attraction pratiquement incontournable. Zao Fox village ou Zao Kitsune Mura, comme il est surnommé, abrite des centaines de renards pratiquement apprivoisés. Dans ce célèbre refuge, plusieurs races de renards – dont le rarissime renard argenté – cohabitent ensemble dans une joyeuse cacophonie de petits cris à destination des passants. Les touristes sont cependant mis en garde. Le renard reste un animal sauvage. Leur habitude au contact de l’homme ne vous empêchera pas de vous faire mordre à l’occasion.

Okunoshima, l’île des Lapins

A une poignée de minutes des côtes Japonaises, l’île d’Okunoshima s’est transformée en petit paradis pour lapins. Ce minuscule bout de terre d’à peu près 4km² était autrefois un laboratoire où les lapins étaient importés pour des tests de gaz toxiques durant la guerre. D’autres sources estiment que ce sont des écoliers qui auraient libéré des lapins sur l’île. La chasse étant interdite, les lapins ont proliféré, faisant honneur à leur réputation et s’amusent à courir derrière les quelques touristes venus assister à ce spectacle attendrissant !

Tashirojima, l’île aux chats

Située aux larges des côtes de Fukuoka, Tashiro island possède une population impressionnante de petits félins. Cette coexistence entre autochtones et chats est due aux anciennes pratiques des insulaires. Ceux-ci élevaient des vers à soie et ont dû trouver une solution pour bannir un de ses prédateurs naturels : la souris. Les chats ont donc été introduits de cette manière et se sont reproduits jusqu’à faire la réputation de cette île. L’occasion idéale de tester la « ronronthérapie » plus couramment pratiquée dans les « bars à chats » de la capitale.

Source : Mr. Mondialisation

2 commentaires

Ecrire un commentaire

    • car

    enfin une information venant du Japon qui fait chaud au cœur , mais si tous ces animaux se reproduisent d’ici quelques temps il seront obligés d’y mettre un terme comme en Australie où les lapins se sont tellement acclimatés et ont tellement proliféré qu’ils se sont crus obligés de leur inoculer la mixomathose !

    • chaumien

    La nature a créé les prédateurs de chaque espèce , pour empêcher la prolifération; alors si nous créons des sanctuaires, faisons les comme il faut pour éviter le pire.