COP23 : Débat avec notre Directeur Général sur ARTE

COP 23 : Le réchauffement climatique, un combat perdu d’avance?
Il y a déjà des millions de personnes qui souffrent à cause des conséquences du changement climatique. Par exemple, 26 millions de personnes migrent chaque année à cause de catastrophes naturelles.

A quoi sert la COP 23 ? Quels en sont les objectifs ? Le réchauffement climatique, un combat déjà perdu ? Quelles sont les solutions ?  Faut-il apprendre à vivre avec ? Quelles sont les conséquences pour la santé?

Autant de questions auxquelles Henri Landes, directeur général de la fondation GoodPlanet à répondu lundi soir à 20 heure lors de l’émission 28 minutes sur Arte.

 

 

4 commentaires

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    • pelerins

    Limiter la démographie, la consommation de viande, de poissons et de produits futiles:
    OUI ces limites sont la portée de tout un chacun, pour une planète plus équilibrée, moins saignante, plus viables avec la place et la nourriture requise laissées aux animaux sauvages terrestres et marins, et aux espaces sauvages .

    Stoppons ces libres échanges, où mondialisation équivaut à « merdialisation » et pollution, et qui font parcourir inutilement des kms à des produits . Application du principe de la souveraineté alimentaire, « ne pas exporter et importer ce que l’on peut produire à proximité ».
    Ces solutions sont simples, mais ce sont encore la mafia et les lobbys qui dictent nos vies et metent la planète en miette.
    Respectons cette pensée si juste « soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » GANDHI.

      • Claude Courty

      Inutile et même contre-produisant – parce que manquant de cohérence – de citer en vrac : démographie d’une part et d’autre part consommation de viande, de poissons, de produits laitier, etc.
      Une réduction de la démographie jusqu’à son ajustement aux ressources de la planète est la condition première d’une baisse de la consommation en tout, la frugalité en tout étant la cerise sur le gâteau.
      Et si rien n’est fait en ce sens, ce n’est pas de « merdialisation » que mourra l’humanité, mais de « submerdation », comme je l’indique dans un précédent post.

    • Claude Courty

    Hélas ! Ainsi qu’il en a été lors de ses précédentes éditions et comme il en sera probablement à la COP 23, pas une évocation, au cours de ce débat, de la dimension démographique du problème, au-delà du propos d’une intervenante osant dire – sans pour autant provoquer de réaction – que « l’humain est une espèce dangereuse ».

    Changement climatique, conflits, atteinte grave à la biodiversité, développement durable, énergie, gaz à effet de serre, pollution de l’air, pollution des eaux, tout y passe, sauf la mise en cause de l’auteur de tous ces maux. Or à quoi bon réduire l’émission des gaz à effet de serre si dans le même temps augmente le nombre des consommateurs dont les besoins – vitaux comme accessoires – sont de près ou de loin à l’origine de cette émission ; sans compter les incertitudes d’une balance aussi bien énergétique qu’ en termes de ressources de toutes sortes et de pollution

    Les intervenants étant plutôt d’accord pour souligner qu’il y a loin des discours écologistes aux actes, pourquoi donc ne parlent-ils pas de la distance entre ces mêmes actes et la réalité, alors qu’une régulation de la population humaine (dans le respect de l’éthique) s’impose, comme s’est imposée de tous temps celle de bien des espèces en voie de disparition qu’ont ainsi sauvé les hommes ? Là est la seule, vraie et durable solution ; toutes autres mesures ne sont qu’accessoires

    Nous n’avons plus le temps de tergiverser en traitant de questions qui ne sont que la conséquence du problème fondamental qu’est celui de la maîtrise de notre propre population et de sa stabilisation, à un niveau respectueux des ressources de son habitat, de son environnement, et des limites de sa gouvernance. Pas d’avenir pour la planète Terre et toutes les espèces qui la peuplent, sans dénatalité humaine ; sans rééquilibrage de la population du premier de ses prédateurs. Or, pendant que 100 millions d’êtres humains supplémentaires déferlent sur Terre chaque année, les experts continuent pour la plupart de de proposer des théories et des mesures d’un conformisme affligeant,qui n’en tiennent pas compte.
    Qui d’autres que ceux dont cette situation garantit le fonds de commerce peut prétendre raisonnablement traiter de sciences humaines et de l’environnement en omettant – voire en refusant – de considérer et a fortiori de traiter le problème factuel de population humaine comme le préalable incontournable à toute spéculation d’ordre sociologique, économique et écologique, et sa solution comme hautement prioritaire.

    Bravant les tabous, le “Précis de pyramidologie sociale” explique pourquoi. Pour découvrir cet ouvrage, papier & ebook (avec option gratuite pour les nécessiteux) :
    https://www.amazon.fr/Pr%C3%A9cis-Pyramidologie-sociale-pr%C3%A9occupe-peuplent/dp/1549526200/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1508946401&sr=8-1&keywords=Pr%C3%A9cis+de+pyramidologie+sociale

    • DESCLAUD Patrice

    Trump aurait-il la prétention de tenter de jouer très longtemps les cigales lorsqu’une bonne majorité des autres « locataires de la planète » essaye de jouer les fourmis (pas tous depuis très longtemps) ? On est dans une copropriété où nous sommes tous locataires, qui payera les charges avant écroulement ?!
    Patrice.