Grèce: dixième jour de canicule, avec des températures jusqu’à 44°C

plage grèce chaleur canicule

La plage de Thessalonique, le 23 juin 2021 lors d'une vague de chaleur en Grèce © AFP/Archives Sakis MITROLIDIS

Athènes (AFP) – Après 10 jours d’une vague de chaleur étouffante, les températures en Grèce vont grimper encore jeudi, atteignant jusqu’à 44°C dans certaines régions, selon l’Observatoire météorologique d’Athènes.

Les températures les plus élevées vont être observées en Grèce continentale, dans le centre du pays, selon les services météorologiques grecs.

La mairie d’Athènes a mis à disposition des populations les plus vulnérables, notamment des sans-abris, quelques salles communes climatisées durant la journée.

L’Acropole d’Athènes, un des sites touristiques les plus visités du pays, doit fermer jeudi entre 13h00 et 17h00, en raison de la vague de chaleur qui enveloppe la capitale grecque, selon la direction du site.

La protection civile grecque a appelé toute cette semaine à la vigilance en particulier pour les personnes âgées et les enfants qui doivent s’hydrater régulièrement et éviter d’être exposés au soleil.

Elle a également averti du « risque élevé d’incendies dans plusieurs régions » et assuré que les pompiers étaient mobilisés dans tout le pays.

La Grèce fait face régulièrement à des canicules et à des feux de forêts durant l’été.

En juillet 1987, près de 1.500 personnes avaient péri suite à une des pires canicules de l’histoire grecque.

Le thermomètre indiquait alors environ 43°C à Athènes pendant plusieurs jours d’affilée et les maisons étaient peu équipées en air conditionné.

©AFP

Un « dôme de chaleur » historique frappe le grand Ouest du Canada et des Etats-Unis

Un commentaire

Ecrire un commentaire

    • Méryl Pinque

    Pas de politique climatique qui tienne sans promotion du véganisme.
    L’alimentation doit être végétale et biologique.
    A bas l’industrie de l’élevage, responsable majeure du dérèglement climatique et de la déforestation !
    Les humains ne peuvent continuer à déplorer ce qu’ils causent eux-mêmes directement en mangeant leurs frères et soeurs nonhumains (à raison de 60 milliards d’animaux terrestres et de billions de tonnes d’animaux marins par an).
    L’humanité est une espèce criminelle qui ne fait que récolter ce qu’elle sème : la mort.

En Inde, des villageois victimes de la montée des eaux désormais réfugiés climatiques

Lire l'article