Une corrélation existerait entre le taux de particules dans l’air et le risque de suicide, selon une étude menée par une équipe de l’université Yonsei à Séoul rapportée dans the New Scientist. L’étude a révélé que le risque de suicide était 9% plus élevée dans les deux jours suivant un pic de pollution par rapport à un jour à faible taux de PM-10, les particules de moins de 10 microns. Les chercheurs ont comparé 4000 cas de suicides avec le taux de PM-10 le jour où ils se sont produits. Le professeur Chang Soo Kim, qui a dirigé l’étude, suggère que les PM-10 causeraient des inflammations nerveuses et affecteraient directement la santé mentale.
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