Des images d’animaux sauvages vadrouillant librement en ville ou de retour dans certains milieux où leur présence était jusque là rare ont fait le tour du monde. Rapidement, on a parlé de la nature qui reprend ses droits au bénéfice du confinement des êtres humains à cause de la pandémie de coronavirus qui a mis un coup d’arrêt à leurs activité. N’est-ce pas trop prématuré pour parler d’un retour de la nature ? Brut revient en nuance sur cette question et rappelle que l’érosion de la biodiversité est un processus plus long et plus destructeur.
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