Quand le beau est l’ennemi de la biodiversité


L’attention du public se focalise sur ce qui est beau, ce tropisme est bien connu des personnes qui s’occupent de préservation de la biodiversité. Plus de connaissances ont été compilées et de moyens sont mis en œuvre sur les pandas, les grands félins ou que sur d’autres espèces moins connue ou moins aimées car jugées moches.  Dès lors, comment intéresser et connaitre ce qui est moins beau  dans la faune ou la flore ? telle est la question posée à Valérie Chansigaud, historienne des sciences et de l’environnement, chercheuse associée au laboratoire SPHère (Paris Diderot-CNRS) par Universcience.

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