En deux décennies, la pollution de l’air aux particules fines a été divisée par deux à Paris. Universscience consacre un sujet à la baisse de la pollution de l’air dans la capitale. D’un côté, la pollution du transport a diminué, de l’autre les instruments de mesure et de suivi des particules fines se sont améliorés. Il y a donc bien un constat sur une amélioration de la qualité de l’air. En revanche, il est difficile d’en attribuer le crédit à une seule mesure, qu’elle soit locale, nationale ou européenne, étant donnée la diversité des sources de rejets des particules fines entre les transports, les industries, le chauffage, les chantiers ou encore les composés chimiques. Même si la qualité de l’air s’améliore dans l’agglomération parisienne, les niveaux de pollution dépasse encore les préconisations de l’OMS, ce qui cause 1700 décès prématurés chaque année.
L’État français condamné pour son inaction dans la lutte contre la pollution de l’air
Un commentaire
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PAT-22
On a du mal à y croire et aimerions SVP plus d’éléments de preuve et d’analyse de telles affirmations ? Les maladies pulmonaire s’accroissent (asthme entre autre). Pollution sans particule fine, es-ce très sérieux ?