Yann Arthus-Bertrand présente son nouveau film HUMAN



Dans cette vidéo, Yann Arthus-Bertrand explique la démarche de son prochain film HUMAN qui combine des interviews de personnes du monde entier et des séquences vidéo aériennes. Il  explique la démarche qui l’a guidée dans la création de son prochain film HUMAN. Il livre un portrait de l’humanité en allant à la rencontre des gens en leur demandant pourquoi n’arrivons-nous pas toujours à vivre-ensemble ?

HUMAN, un long métrage de Yann Arthus-Bertrand. Sélectionné hors compétition au festival international du film de Venise pour une projection spéciale.

Pendant plus de 2 ans, grâce au soutien exceptionnel de la Fondation Bettencourt Schueller, nous avons récolté un patrimoine unique composé de 2500 heures d’interviews et d’images aériennes inédites, dans 60 pays. Fondé sur cette richesse, HUMAN porte la voix de tous les hommes et les femmes qui nous ont confié leur histoire, ce film s’en fait leur messager.

Immersion au cœur de la nature humaine, à travers nos défis, nos espoirs, nos luttes, HUMAN adresse les questions que nous nous posons tous un jour : quel sens souhaitons-nous donner à notre présence sur Terre ? Quel avenir pouvons-nous construire ?

Au-delà du film, nous souhaitons que le projet HUMAN reforme un lien entre nous tous, et nous rassemble autour des valeurs fortes de solidarité et d’engagement, dans le but de « Vivre Ensemble Durablement ».

En effet, nous souhaitons que ce film soit le point de départ d’échanges et de débats, et qu’il soit, pour tous les organismes institutionnels, culturels et associatifs de France, l’occasion de mettre en avant leurs initiatives.

6 commentaires

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    • Rajat IDRISSI YASSINE

    Bonjour
    excellente idée, bon courage et réussite.
    soleil du Maroc vs accompagne
    cordialement

    • lecreux

    Bonjour,
    Oui, effectivement,une excellente idée dont le monde a bien besoin.
    Cordialement

    • Moâ

    J’ai vraiment hâte de le voir et j’espère que nous serons nombreux ainsi !

    • SERREAU françoise

    BRAVO pour ce film HUMAN dont l’intention est si belle et généreuse. J’ai hâte de le voir tout en regrettant de ne pas avoir participé d’une façon ou d’une autre à une telle réalisation.
    je serai à venise début septembre et j’aimerais savoir à quelle date il sera présenté.
    Merci
    Françoise de mouans sartoux

    • Odinot

    Chacun s’accorde à penser que notre société est à bout de souffle, mais personne ne propose réellement de solutions à hauteur des problèmes identifiés. Or, nous avons une obligation de résultat si nous souhaitons voir l’humanité perdurer.

    Ceci est une simple ébauche de ce qui nous semble pouvoir et devoir être entrepris après inventaire et mise en forme.

    Certaines propositions originales choqueront sans doute le lecteur. Au lieu de réagir négativement, nous souhaitons que celui-ci avance et enrichisse le débat avec ses propres idées.

    Où sommes-nous ?
    Nous évoluons sur une planète privilégiée perdue dans un univers hostile, fait de roches, de gaz de particules, et soumis à des températures extrêmes. Cet univers a-t-il été conçu ou non par un dieu « créateur » ? Personne ne peut apporter à ce sujet de réponse pertinente. Le problème religieux doit donc se cantonner au niveau de la conscience individuelle et non, collective.

    La vie a envahi la terre ; trois règnes s’y côtoient : l’animal, le végétal et le minéral.
    Mais au cours de ces deux derniers siècles, un animal : l’homme, a pris le contrôle de l’ensemble or, visiblement la situation lui échappe et il ne sait comment gérer cette planète dont il s’est arrogé la propriété.

    Nos problèmes :
    Une trop rapide augmentation de la population, multipliée par sept en deux siècles, appelait de profondes transformations sociales, mentales, économiques environnementales et d’infrastructures sans communes mesures avec les moyens disponibles et les politiques suivies durant la même période.

    En même temps que le nombre de bras augmente les besoins en main d’œuvre diminuent, du fait de la mécanisation, de la robotisation et de la course à la productivité.
    Une fraction non négligeable de la population, ne dispose pas de moyens d’existence décents, tandis qu’une infime minorité accumule des richesses de façon démesurée.
    L’homme, excelle dans les sciences et la production, mais il est totalement dépassé aux plans : politique, économique et même philosophique.

    L’environnement se dégrade, les ressources s’épuisent.

    Arrêtons là le constat, et donnons-nous comme objectif d’imaginer un type de société ou l’humanité toute entière trouve sa cohésion et gère « en bon père de famille », l’ensemble de la planète.

    Que souhaitons-t-on nous ?

    Comme nous le constaterons ci-dessous, c’est une utopie techniquement réalisable, mais mentalement impossible, car nous avons des difficultés à abandonner nos repères habituels et à nous projeter dans le moyen ou long terme.

    Quatre questions essentielles pour le devenir de l’humanité:

    -Population : combien d’hommes et avec quel niveau de vie, la planète peut-elle admettre sans mettre en cause les équilibres naturels ?
    -Moyens d’existence : comment permettre à chaque individu de se nourrir, d’être protégé soigné, éduqué tout au long de sa vie ?
    -Sécurité : comment assurer la sécurité collective et individuelle ?
    -Environnement : comment laisser à nos successeurs une planète non épuisée ou dégradée ?

    Que pouvons-nous ?
    Voici les réponses envisageables au plan « technique »:

    Gouvernance mondiale
    Confier à un gouvernement mondial, émanant d’une ONU complètement redéfinie, les grandes orientations qui s’imposent désormais à l’humanité.
    Ce gouvernement disposerait de trois atouts majeurs : d’une banque mondiale, d’une monnaie unique et d’une armée mondiale, constituée de l’ensemble des armées nationales; soustraites à l’autorité des gouvernements nationaux. Il serait le garant des
    – droits de l’humanité (à définir)
    – droits de l’homme
    – et du « droit au travail pour tous ».

    Les notions de pays et de nations ne seraient nullement remises en cause.
    Par contre les régimes seraient obligatoirement des démocraties.
    (Prévoir une organisation mondiale sans dérive possible vers la dictature)

    Population
    Nous savons calculer la population globale admissible en fonction des ressources planétaires et du niveau de vie.
    Par exemple actuellement 1,2 milliard environ, d’habitants peuvent vivre comme un américain moyen, ou 33 milliards comme dans les pays les plus pauvres.
    Nous sommes 7 milliards d’hommes sur terre et ce chiffre s’accroît environ d’un milliard tous les douze ans. Une politique contraignante de limitation des naissances permettrait de réguler ce « paramètre » en posant comme donnée fondamentale qu’il est préférable d’éviter une naissance que de tuer un être humain par la sélection naturelle, la misère ou la guerre. Il pourrait même être envisagé de revenir à une population mondiale de l’ordre de 4 milliards dans deux ou trois siècles.
    Limiter les naissances : on sait faire !

    Moyens d’existence

    Je vais essayer de préciser ma pensée de façon caricaturale, car je ne suis pas un spécialiste et le domaine est trop vaste.
    Ce que chacun peut constater c’est qu’une activité permet de dégager de la richesse, mais implique salaires, investissements, frais de fonctionnement dividendes et impôts, au sens large du terme. On se rend compte que nos états modernes sont de plus en plus impliqués en matière de fonction publique, d’infrastructures et de réduction des inégalités.
    Tout le monde réclame de plus en plus de moyens. Or ces moyens proviennent soit de l’impôt soit de la dette.
    Quel que soit le cas de figure, l’écart entre objectifs souhaitables et moyens disponibles ne peut que s’accroître. Celui qui prétendrait le contraire dans le système actuel se trompe ou nous trompe.

    Il faut donc trouver autre chose: sorte de synthèse entre communisme et capitalisme.

    Le développement des techniques et plus particulièrement de la robotisation laisse de plus en plus de monde en dehors du circuit traditionnel du travail. Parallèlement une quantité énorme de taches utiles, ne sont pas accomplies, car elles apparaissent contre-productives.
    Or, dans le droit de l’humanité doit figurer un droit au travail pour tous, permettant d’accomplir ces tâches.
    La solution consiste à concevoir une société à trois vitesses et un financement adapté :

    1/ On garde le schéma actuel du capitalisme, mais on supprime l’impôt, inégalitaire, impopulaire et cher à récupérer. (Voir solution ci-dessous.)

    2/ On réorganise la fonction publique en tenant compte de son financement par la banque mondiale. (Voir solution ci-dessous)

    3/ On crée un circuit social, chargé de procurer impérativement un emploi à tous ceux qui n’ont pu s’intégrer ou se maintenir dans les deux précédents circuits économiques.
    Les tâches susceptibles d’être réalisées dans ce troisième circuit sont innombrables, en voici quelques exemples : surveillance et soins aux personnes âgées, aux enfants, aux infirmes, amélioration du cadre de vie et de l’environnement dans un quartier, une ville, un pays, entretien des forêts, reboisement, formation des adultes, lutte contre la désertification, soutien scolaire etc., etc…….
    Des critères de rentabilité doivent être pris en compte dans ce troisième secteur afin que tout salaire versé corresponde à un travail effectif, utile et de qualité. Les négligences sont sanctionnées par une mise à pied temporaire et sans salaire. Tout travail procurant un pouvoir d’achat, le secteur concurrentiel s’en trouve dynamisé. Concrètement: les salaires sont plus attractifs dans les deux premiers circuits que dans le troisième. Chacun trouve néanmoins, un emploi correspondant à ses mérites et motivations et peut passer d’un secteur à l’autre.

    Financement de la fonction publique et du secteur non concurrentiel
    Dans notre système économique actuel, le financement de ces deux secteurs est assuré par des prélèvements (de plus en plus importants, mais toujours insuffisants), effectués sur le résultat du travail des « actifs ».
    Il faut donc commencer par créer des richesses afin de pouvoir prélever et redistribuer.

    Or le nombre d’actifs tend à diminuer et les besoins augmentent sans cesse, d’où un système obsolète.

    Comment changer notre système économique ?
    Au lieu de créer des richesses pour en redistribuer, il conviendrait d’inverser le processus, en commençant par la distribution.

    Concrètement :
    Chaque état établit un projet de budget couvrant : la fonction publique, le droit au travail pour tous, les investissements, les retraites.
    Ce budget doit être cohérent avec les objectifs poursuivis à l’échelon mondial, il devra tenir compte d’une nécessaire période de transition et d’ajustement. Il sera examiné et approuvé au niveau du gouvernement mondial.
    Chaque état se verra alors attribué un « droit de tirage » sur la banque mondiale, seule habilitée à créer de la monnaie.
    Le budget sera exécuté en toute transparence par chacun des pays avec contrôle à postériori au niveau mondial.
    L’habileté des dirigeants résidera dans la préparation et l’exécution intelligente du budget.
    On pose comme objectif économique mondial, que dans le délai raisonnable d’un siècle, tous les états disposeront s’ils le souhaitent de moyens d’existence équivalents, en s’efforçant de niveler plutôt vers le haut que vers le bas. Le gouvernement mondial a la maîtrise de la monnaie unique. Celle-ci ne peut donc s’apprécier ou, se déprécier par rapport à aucune autre. Il convient seulement de conserver un équilibre entre le montant global de la monnaie émise et le volume total des biens et services proposés. Cela est rendu possible grâce à un circuit court de la monnaie. On ne thésaurise plus, puis que l’on est garanti de percevoir des revenus tout au long de son existence grâce au droit au travail et à la retraite. La discrimination par l’argent disparaît. Seul, le train de vie distingue les plus productifs et les plus créatifs. On peut envisager qu’une grille des rémunérations impose qu’aucun homme ne puisse percevoir un salaire ou revenu supérieur, par exemple, à 50 ou 100 fois le salaire minimum. La motivation reste cependant suffisante pour que le génie humain continue de s’affirmer.

    Le montant des retraites est indexé sur le salaire moyen perçu au cours de la vie active. Les handicapés perçoivent le salaire minimum s’ils ne peuvent travailler.

    Une consommation normale s’effectue tout au long de l’année, consommation à laquelle doit s’adapter et répondre le secteur concurrentiel.

    Il conviendra de prévoir un système de régulation pour « éponger » l’excèdent de monnaie qui aurait pu être émis par rapport aux biens et services disponibles et éviter la reconstitution de très grosses fortunes ainsi qu’une inflation mondiale.
    Ce n’est pas une mince affaire que de tenter de planifier et modéliser tout cela tant aux échelons nationaux qu’au niveau mondial. C’est donc un véritable défi à relever
    conjointement par les informaticiens, les économistes new-look et les industriels.
    Il semble difficile d’affirmer la possibilité ou l’impossibilité d’entamer une telle démarche au niveau mondial. Par contre la faisabilité pourrait être vérifiée en chargeant l’ONU de cette tâche puis de mettre en place dans un délai raisonnable, un tel système dans une Ile « laboratoire » réputée pauvre, telle que Haïti et la République Dominicaine sa voisine mieux développée.
    Du travail et des moyens d’existence pour tous : on peut faire !

    Sécurité
    -Sécurité collective
    Il faut absolument retirer à tous les chefs d’état le droit et la possibilité de faire la guerre. À cet effet toutes les armées sont placées sous l’autorité du gouvernement mondial. Chaque état fournit et entretient le contingent qui lui est assigné, mais celui-ci est cantonné, 50% sur le territoire national, 50% à l’étranger, afin d’échapper à toute tentative d’utilisation de l’armée nationale par les gouvernements locaux. Chaque état doit donc héberger sur son territoire en contrepartie une quantité équivalente de militaires étrangers.
    L’armée mondiale intervient à l’initiative du gouvernement mondial pour régler toute velléité de conflit.
    -Sécurité individuelle
    Police et gendarmerie disposent également des moyens militaires pour leur action de prévention ou de répression. Les prisons sont réduites n’ayant pas prouvé leur efficacité. Toutefois, la société doit se protéger efficacement contre tous ceux qui l’agressent.
    Les peines prévues par le code pénal doivent être totalement révisées. Diverses approches sont envisageables.
    Assurer la sécurité individuelle et collective : on sait faire !

    Environnement
    Actuellement, la protection de l’environnement grève les prix de production, on fait donc semblant de prendre en compte ce problème, mais en réalité, il est largement marginalisé. Les océans se vident de leur faune, les puits de pétrole s’épuisent, les nappes phréatiques se dessèchent, les forêts disparaissent, la planète se réchauffe etc.

    Le droit au travail et la monnaie unique permettent de traiter cette question au fond, et d’inverser la tendance à la dégradation. De très grands travaux peuvent être entrepris tels que reconstitution des forêts tropicales, arrêt de la désertification, reconquête progressive des déserts, recyclage systématique des matières premières, dépollution des sites, amélioration des paysages urbains, recherche d’énergies nouvelles: fusion nucléaire, batteries non polluantes pour stocker l’électricité des voitures, etc…
    Protéger l’environnement : on sait faire !

    Utopie ou non ?
    A priori, tout ceci procède du rêve et ne peut être suivi d’effet car les mentalités ne sont pas prêtes aux nécessaires adaptations.
    « Pouvoir » n’est pas « vouloir » !
    On ne sait pas :
    -Dégager un consensus
    -Prévoir et organiser à moyen et long terme
    -Changer d’échelles de valeurs
    Avant de renoncer il serait bon, sous l’autorité de l’ONU, que chacune de ces suggestions soit soumise respectivement à des groupes de philosophes, de scientifiques, d’économistes, et de politiques d’horizons différents, en leur demandant :
    -D’en faire une critique comparative et constructive par rapport à la situation actuelle
    -De vérifier leur cohérence et leur faisabilité
    En cas d’adhésion significative à ces principes, il leur appartiendrait également d’échafauder un calendrier sur une quarantaine d’années pour la préparation et la mise en œuvre toujours sous l’égide de l’ONU.
    Mais là encore nous sommes en pleine utopie, car l’ONU ne peut être mandatée que par des gouvernements et aucun gouvernement ne cautionnera, une future amputation de ses prérogatives sur les deux pôles du pouvoir que sont l’armée et la monnaie.
    Si une action doit se dessiner, pacifiquement elle ne peut démarrer que de la base, organisée en associations : locales, nationales, internationales. Il est certain qu’un foisonnement d’idées pourrait en sortir via Internet, prouvant que d’autres choix sont possibles essentiels et urgents.
    Lorsque les médias s’empareront à leur tour du sujet, les responsables politiques aiguillonnés par leur base seront enfin contraints de s’occuper des vrais problèmes de l’humanité.
    Michel Odinot

    PS :Sans interdire les religions, ce qui serait contre-productif, il conviendrait de les contraindre cependant, à se mettre en conformité avec les droits de l’humanité et les droits de l’homme .
    Une émanation de ces différents droits devrait émerger sous forme d’un « civisme » orienté vers l’homme et l’humanité, et, enseigné de façon analogue dès le plus jeune âge dans le monde entier sur le thème : « tous différents, mais tous les mêmes »

    • AlTerreNatif

    Ce projet de gouvernance mondiale (partagé par beaucoup, y compris par nos politiques que vous croyez en opposition à ce principe) est une vaste illusion. Les vraies conséquences seraient :
    – réduction de la natalité : mais seulement chez certains, ceux qui embêtent par leur nombre, font peur aux gouvernants : les pauvres. Et il sera nécessaire de le faire contre leur gré, car ce n’est pas eux qui décident (avec l’argument récurent qu’ils n’y connaissent rien …)
    – démocratie ? illusion : les régimes représentatifs ne sont pas des démocraties, car ce sont les représentants qui ont le pouvoir et non le peuple, et un régime à plusieurs niveaux de représentation (états nationaux, regroupements supra nationaux, et état mondial) l’est encore moins.
    – réduction des inégalités ? absolument pas. Comme le communisme russe, l’idée est plutôt que ceux qui mettront en place ce gouvernement mondial seront les riches de demain, par le pouvoir qu’ils auront sur les institutions au niveau global.
    Imaginez un instant que ce soient les riches d’aujourd’hui qui mettent en place cette gouvernance, et vous obtenez la consécration politique ultime de leur pouvoir principalement économique aujourd’hui : une domination long terme et sans partage, sans possibilité de renversement ni d’autre orientation de l’Humanité, grâce à votre « armée », qui pourra intervenir sur toute population locale récalcitrante à cette vue unique et mondiale de l’avenir.
    Une dictature en fait …
    Alors oui, vous en parlez « Prévoir une organisation mondiale sans dérive possible vers la dictature », mais ce vœux pieu est bien le seul point auquel vous n’avez pas de réponse … Je vous encourage à le creuser, c’est le plus important. Car une fois une dictature mondiale en place, plus de force exterieure pour la renverser …

    Je vous conseille une lecture M. Odinot, « La société contre l’état » de Pierre Clastres, qui livre son analyse sur la notion d’état et ce que représente réellement cet entité extérieure au peuple. Peut être que ce livre vous donnera quelques idées pour penser l’avenir sans gouvernance mondiale …