Brazzaville: Retour à l’essentiel

Au Congo, dans la ville de Brazzaville, se trouve un orphelinat pas comme les autres. Un monde où des enfants brisés par la vie ont retrouvé le sourire grâce à une femme hors du commun : Marie-Thérèse. Cette ancienne membre d’une congrégation religieuse a tout quitté pour venir en aide aux orphelins, les soutenir, les guider, les aimer. Point de sacrifice pour Marie Thérèse, juste le sentiment d’avoir fait quelque chose pour donner un sens à sa vie et être heureuse. Sa joie et son bonheur de vivre, elle les communique et les inculque aux enfants.

Abandonnés, orphelins ou handicapés, ils arrivent de partout, sont accueillis, apprivoisés pour certains, et apprennent à vivre dans cette communauté de Brazzaville où le partage et l’amour sont les principales lois. Tous disent avoir eu de la chance de rencontrer leur nouvelle mère, Marie Thérèse. Malgré le manque de place, les locaux vétustes, et les conditions précaires, chacun des petits pensionnaires a la sensation de vivre dans une oasis où l’harmonie, l’entraide, la solidarité et la tolérance règnent.

Ce film montre l’invisible : comment, dans un endroit où l’on croise le pire, tous ont trouvé l’espoir et l’envie de vivre. Mieux, l’amour !

Pour en savoir plus, et pour soutenir l’orphelinat, découvrez lesa ctions de l’association Badao.

5 commentaires

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    • Eric Eustache

    Bravo et merci pour cette magnifique découverte. Comme Yann, et j’imagine tous ceux qui découvriront Marie-Thérèse et ses magnifiques enfants, j’ai été très très touché par ce surcroît d’humanité, d’amour et de courage.

  • […] Au Congo, dans la ville de Brazzaville, se trouve un orphelinat pas comme les autres. Un monde où des enfants brisés par la vie ont retrouvé le sourire grâce à une femme hors du commun : Marie-Thérèse.  […]

    • Catingo

    Un reportage tellement émouvant, magnifique à voir et à faire partager. Tellement beau et essentiel.
    Une vraie humanité qui rend fier de faire partie de l’humanité. Bravo vraiment.

    • Hermann Elisabeth

    Je suis à Brazza il y a 70 ans… Mes parents sont rentrés en France alors que j’avais à peine 1 an.. et n’y suis jamais allée.. quelle frustration! quelle tristesse ! Depuis il me manque qqchose..

    • Hermann Elisabeth

    Merci pour cette oeuvre d’amour..
    J’ai été éducatrice à Marseille et je sais combien est indispensable et riche la relation à l’autre…