50% des habitants de la planète vivent dans les villes. En 2030, ils pourraient être 60 %.

Le début du XXIe siècle voit une véritable révolution : l’humanité achève de basculer des champs au béton et les valeurs comme les modes de vie en sont transformés. Si la ville apparaît toujours comme le lieu de la modernité, elle est un haut lieu de la consommation et génère de nombreux déchets. Aujourd’hui, pour que la ville reste un « heureux accident de l’histoire » selon les mots de l’historien Fernand Braudel, il faut la concevoir « durable ».

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