Sévérité contre les voyous des mers

En novembre 2003, le tribunal correctionnel de Brest (France) a condamné le commandant du navire Voltaire à 100 000 € d’amende. Le capitaine, reconnu coupable de dégazage en mer en mai 2003 au large des côtes du Finistère, avait laissé derrière son porte-conteneurs une nappe d’hydrocarbures de 100 000 m2. La fédération France Nature Environnement (FNE) qui s’était constituée partie civile, a obtenu 10 000 euros de dommages et intérêts.

3 commentaires

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    • plumagile

    Dégazages sauvages
    100 000 m2 si je ne m’abuse font 10 hectares, ça me parle plus. Je constate que le montant de l’amende de 100 000 € correspond à 1 € du m2 c’est ridicule et même si c’est « mieux que rien », je n’imagine pas que cela puisse stopper les dégazages sauvages tant la somme est dérisoire. Je ne ferai aucun commentaire sur le montant des dommages et intérêts accordés à la partie civile car mes yeux étant remplis de larmes, je ne vois plus les touches de mon clavier….

    • POUDOULEC Olivier

    Degazage
    Exact, les amendes sont tellement dérisoires à côté des bénéfices engrangés que cela n’incite en rien le fait de recommencer. De quel côté sont dont les tribunaux, la justice?
    Peut-être réagirait-il mieux s’il avaient eu lors propres enfants mazoutés sur les plages comme je l’ ai connu sur la côte basque
    ( moins actuellement mais les déchets de toutes sortes les ont remplacés ).
    Ils faut vraiment faire pression !

    • Guillaume Besset

    Question
    Qui est l’affréteur ?