Parley ou l’exemple d’un réveil écologique innovant !


Parley s’attaque aux principales menaces qui pèsent sur nos océans, l’écosystème le plus important de notre planète.

A l’heure actuelle, il y a cinq trillions de morceaux de plastique dans l’océan, auxquels nous ajoutons 300 millions chaque année. Ce plastique est fragmenté en morceaux et ingérés par les poissons à leur insu.

Parley for the Oceans part d’un constat simple : il ne suffit plus de s’émouvoir pour les générations futures, mais il faut maintenant s’alarmer de la perte de la source de la moitié de notre réserve d’oxygène- essentiel à la survie des espèces vivant dans les écosystèmes océaniques.

L’organisation Parley concède que même si nous ne pouvons pas ramener ce que nous avons perdu, il est encore temps de sauver ce qu’il nous reste et essayer de maintenir les océans en vie.

L’objectif de cette organisation est donc de trouver des marques, gouvernements, individus qui veulent faire partie d’un changement drastique et pensent que l’industrie créative a aussi sont mot à dire dans la lutte contre le changement climatique. Elle invite donc artistes, musiciens, acteurs, producteurs, créateurs de mode, journalistes, architecte… à se réunir autour de ce thème et trouver des solutions innovatrices.

Pour rejoindre le mouvement, cliquez ici

2 commentaires

Ecrire un commentaire

    • Claude Renaud

    Vouloir sauver les océans du plastique est un leurre, quand l’industrie pétrochimique en fabrique
    toujours plus chaque année. Le dernier chiffre fait état de près de 350 millions de tonnes annuelles,
    dont une partie non négligeable se retrouvera immanquablement dans la mer. Quand on sait que tous
    les fleuves du monde, charrient leur lot de plastique et les déversent dans les océans et que ces
    plastiques ont une durée de vie de 200 ou 300 ans, on voit mal comment on peut les sauver.
    Les quelques bonnes volontés qui veulent s’y attaquer ne pèsent pas lourd face à l’industrie du
    plastique.
    La seule solution serait d’arrêter sa fabrication, mais le mal est déjà fait.

    • Gibrule

    ton truc ne parle pas du tout du reveil donc du coup je n’ai pas pu faire mon exposé sur le reveil

France : les catastrophes climatiques ont coûté 6,5 milliards d'euros aux assureurs en 2023

Lire l'article