Le plastique, c’est (pas si) fantastique !


L’été on cherche souvent à consommer pratique et les déchets ont tendance à finir au mauvais endroit. Or, veillez à avoir son cendrier de poche sur soi, à ramasser ses déchets à la plage ou en nature et à ne pas plus consommer de plastique qu’au quotidien sont autant de gestes utiles pour la protection des océans et le respect de la biodiversité.

Ce sont environ 8 millions de tonnes de plastique qui atterrissent chaque année dans les mers et océans, dont 80% sont issus de déchets en provenance du continent. Les quelques 150 millions de tonnes de plastique qui s’accumulent en permanence sur les océans occupent 40% de leur surface. Quand on sait que 50% du plastique produit est voué à être jeté directement après achat, il y a de quoi avoir envie d’agir sur sa consommation et de faire attention !

Que peut-on faire pour passer à l’action concrètement ? 

« Le plastique, c’est comme les antibiotiques, c’est pas automatique. »  Le youtubeur Merci pour l’info Jo vous propose dans une vidéo ludique et pédagogique des solutions concrètes pour agir au quotidien telles que l’utilisation des machines de collectes automatisées, le recours au vrac ou encore la participation à des collectes de déchets.

L’ONG Surfrider Foundation  vous propose aussi quelques astuces pour une conso’ zéro déchet dans un article complet : https://www.surfrider.eu/le-blog/reduire-ses-dechets-a-la-source-objectif-zero-dechet/

Un commentaire

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    • Claude Renaud

    On peut toujours faire des petits gestes au quotidien, par conscience personnelle, pour limiter
    l’utilisation du plastique. Le problème, est qu’il existe de par le monde, surtout dans les pays
    pauvres, des milliers de décharges à ciel ouvert, souvent au bord de la mer, où les déchets plastique
    s’envolent à tous les vents et finissent dans l’océan. Au fil des décennies, la vie marine va finir par
    disparaître. Et quand les océans seront morts, l’Humanité n’en aura plus pour longtemps. La solution?
    Arrêter la fabrication du plastique. Mais je crains qu’il ne soit déjà trop tard !
    Nous, humains, à l’intelligence supérieure, nous fabriquons en grande quantité, un matériau dont nous
    ne savons pas nous débarrasser. C’est tout simplement suicidaire !