Soutenez la BD « Manger vers le futur »

De vraies interrogations agitent la communauté scientifique : « Comment nourrir 9 milliard d’habitants en 2050 ? Que mangerons-nous demain ? Faut-il limiter notre consommation de produits animaux ?  »

« Manger vers le futur » ? Une BD numérique d’anticipation qui invite le lecteur à rencontrer quatre amis. Ana, Raman, Edgard et Inès, tous jeunes diplômés, se promettent pour ne se perdre de vue de se retrouver au moins une fois par an autour d’un repas.

De 2018 à 2050, l’œuvre propose de suivre leurs péripétie personnelles, relationnelles et alimentaires avec comme toile de fond une société et un monde en mouvement : changement climatique, décisions politiques majeures, apparition de nouvelles technologies et habitudes de consommations…

Ce feuilleton de 30 épisodes sera diffusé pendant 1 mois sur le réseau social Instagram à partir de mars 2018. Chaque jour un nouvel épisode passera en revue une nouvelle année passée pour nos quatre compères.

Un projet initié et porté par la Chaire ANCA (Aliment Nutrition Comportement Alimentaire) d’AgroParisTech.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, 565 euros ont été récoltés et il reste 24 jours pour atteindre les 5 000 euros du premier l’objectif.

Éveiller les consciences, et inviter le lecteur à la réflexion et aux débats sans conclusions moralisatrices ou stigmatisantes.

Pour soutenir le projet : https://www.kisskissbankbank.com/manger-vers-le-futur-la-bd… # Chaire ANCA

2 commentaires

Ecrire un commentaire

  • Ce que nous mangeons et ce que nous buvons conditionne en grande partie notre santé et le porte-parole du CSLT est pour cettte raison solidaire du message que fait passer cette BD

    Mais il invite les français à considérer la nourriture comme de l’énergie et à examiner les chiffres.

    Il faut se rendre à l’évidence: les quelques 2000 calories que l’on absorbe journellement pour se nourrir
    comparées aux kWh que l’on consomment pendant la même période pour chauffer son logement et alimenter le moteur à essence de sa voiture sont tout à fait négligeables. On compare dans la pratique le poids d’une mouche à celui d’éléphant

    Pour s’en convaincre il
    suffit de convertir ces 2000 calories en kWh en écrivant que 1 calorie= 4,18 joules, (merci Prescott), et de savoir qu’il y 3600 kilojoules dans un kWh. Examiner le résultat sur

    http://www.infoenergie.eu/riv+ener/source-energie/SWE.htm

    est éloquent, l’énergie contenue dans la viande que nous mangeons et corrélativement le méthane rejeté dans l’atmosphère par les vaches lorsqu’elles pètent
    est quantitativement totalement négligeable comparativement au gaz brûlés rejetés par la combustion des produits fossiles, que ce rejet concerne la voiture où la chaufferie.

    Pour respecter les accords de Paris sur le climat cet aspect des choses va nous amener à agir non pas sur l’alimentation de notre corps mais sur celle de notre logement et de notre voiture. Ceci en remettant profondément en cause notre modèle économique sans pour autant l’abandonner complètement s’il en est encore temps. Voir
    http://infoenergie.eu/modele.htm

    Balendard qui commence à penser à NOËL 2017

      • Kyle

      oui c’est vrai que l’alimentation a moins d’impact que l’utilisation des énergies carbonées.
      Mais au final, si l’on veut résoudre réellement l’ensemble des problèmes actuels, il faudra remettre en cause pas mal de fondement de nos sociétés. Finalement, que ce soit pour alimentation ou le fossile, la démarche est la même: il faut se remettre en cause, cette remise en cause étant indispensable au vue des derniers développement et constat scientifiques.
      Donc, pour moi, il n’y a pas de négligeable qui tienne: il faut remettre à plat nos Sociétés et les repenser afin que nous ne disparaissions pas en tant qu’espèce.