Les chaussettes antibactériennes pourraient participer au réchauffement climatique

Les nanoparticules d’argent, utilisées entre autres dans les chaussettes anti-odeur, pourraient avoir un impact négatif sur l’environnement, d’après The New Scientist. Des études en laboratoire réalisées par des chimistes de l’université de Duke, aux Etats-Unis, montrent en effet que le niveau de protoxyde d’azote, un puissant gaz à effet de serre, sont quatre fois supérieures dans un tube rempli de nanoparticules que dans un tube témoin. Si ces résultats se vérifient à grande échelle, « ils pourraient alimenter les inquiétudes sur le changement climatique » a déclaré Donald Wuebbles, spécialiste de l’atmosphère.

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