Paris (AFP) – L’éducation doit se transformer « radicalement » pour relever les défis auxquels l’humanité est confrontée, particulièrement en matière d’environnement, estime un rapport de l’Unesco paru mardi.
« En matière d’environnement, il faut changer notre manière de regarder l’éducation », explique Nihan Koseleci Blanchy, porte-parole de l’Unesco à Paris. L’organisation insiste sur la nécessité d’une « alphabétisation écologique », c’est-à-dire une intégration de l’apprentissage des problématiques environnementales dans les systèmes éducatifs.
« Les programmes scolaires de la moitié des pays du monde ne mentionnent pas explicitement le changement climatique dans leur contenu », souligne le rapport intitulé « L’éducation au service des peuples et de la planète ». Dans les pays de l’OCDE, près de 40 % des élèves de 15 ans n’ont que des connaissances basiques des problématiques liées à l’environnement, selon l’Unesco.
Le rapport souligne également le retard pris sur les objectifs de développement mondiaux en matière d’éducation, 263 millions d’enfants et adolescents étant toujours exclus du système scolaire.
L’enseignement primaire universel, c’est-à-dire l’enseignement obligatoire et gratuit pour tous les enfants en âge d’aller à l’école primaire jusqu’à la fin du cycle, était déjà un objectif en 2015. Il ne sera pas atteint en 2030, date fixée pour la réalisation des objectifs de développement mondiaux.
« Au rythme actuel, le monde parviendra à un enseignement primaire universel en 2042, à un enseignement secondaire du premier cycle universel en 2059 et secondaire du second cycle universel en 2084, ce qui voudrait dire qu’il aurait un demi-siècle de retard par rapport à la date butoir de 2030 », regrette l’Unesco.
Malgré des progrès, le rapport souligne des inégalités toujours trop importantes. Selon les estimations de l’Unesco, les pays les plus pauvres ne parviendront à l’enseignement universel primaire qu’en 2088, soit 100 ans après les pays les plus riches.
En France, l’enseignement universel du premier cycle du secondaire sera atteint en 2040, en 2050 pour le deuxième cycle du secondaire.
© AFP
4 commentaires
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Jean Grossmann
OUI il va falloir enseigner différemment en se préoccupant plus de notre devenir et de notre environnement.
Quiconque c’est interessé a la chaleur specifique de la matiere sait que pour transformer 2 m3 d’eau froide en 2 m3 d’eau chaude en augmentant sa température de 10 à 60°C, il faut 100 kWh. Une quantité d’énergie comparablé à celle contenue dans la batterie Tesla il y a peu de temps sur Goodplanet.
Il y a plusieurs chaines énergétiques pour stocker cette énergie qui est cette fois thermique et non électrique et il serait tout de même utile d’apporter un peu de reflexion pour chercher à savoir qu’elle est celle que nous avons intérêt à retenir
En effet force est de constater que celles que nous utilisons habituellement avec insouciance sont les plus mauvaises. Elles sont les plus mauvaises pour la simple raison qu’ elles dilapident avec insouciance la couteuse énergie primaire. Ceci dans la mesure où elles consomment également 100 kWh d’énergie primaire : à savoir de l’électricité (avec l’effet joule et les résistances electriques) ou des combustible fossiles (avec la combustion et les chaudières). Ceci alors que nous pourrions obtenir le même résultat en consommant le plus économiquement du monde 5 fois moins d’énergie primaire en prélevant 80 kWh thermique directement dans l’eau de nos rivières et fleuves ou à défaut l’aquifère libre en communication avec elle.
Il serait tout de même temps de réaliser que nous pouvons le faire pour le chauffage de l’habitat urbain avec une PAC aquathermique à compresseur sans polluer l’atmosphere de nos villes en y rejetant des gaz nocifs dans l’atmosphère.
Ceci en refroidissant 16 m3 d’eau de 10 à 5°C ou mieux 4 m3 d’eau de 25 à 5°C
Quiconque connaissant le principe de conservation de l’energie et ayant quelques connaissances en mécanique des fluides est capable de le comprendre. Qui plus est de comprendre qu’assurer le chauffage de l’habitat en refroidissant notre environnement présente tout de même un certain intéret à l’ère du réchauffement climatique
Quiconque a lu le livre « La chaleur renouvelable et la riviere » comprendra aussi qu’il est de loin souhaitable de choisir la deuxième orientation. Celle qui consiste a ne pas laisser la copropriété et le syndic faire tout le travail en récupérant la chaleur fatale de la géothermie profonde afin d’augmenter la température à la source froide de la pompe à chaleur aquathermique. Un échangeur à plaque est en effet capable de transférer simplement et économiquement de très grandes puissances sans que l’eau de la nappe libre soit mélangée avec celle de la nappe captive profonde. Ceci afin de ne pas perturber l’équilibre de notre écosystème sous-terrain
Il n’est pas besoin de faire un dessin pour comprendre les avantages d’une telle solution qui divise à minima par 4 la taille du réseau d’alimentation en eau non potable des immeubles par rapport à une pompe à chaleur sur nappe libre prélevant son énergie dans une nappe phréatique à 10°.
Il n’est pas besoin d’être polytechnicien pour comprendre qu’en récupérant l’énergie fatale de la géothermie profonde jusqu’ici bêtement rejetée en pure perte vers les nappes captives profondes on améliore encore notablement le COP de la pompe a chaleur aquathermique. Et cela dans des proportions qui sont loin d’être negligeable si la température à la source froide de la pompe à chaleur aquathermique passe à 25°C au lieu de 10.
De plus vu la charge de travail actuelle des syndics et la structure juridique de l’association formée par le syndic et le syndicat des copropriétaires on comprend que pour assurer le chauffage de nos métropoles seule une solution mettant en jeu la municipalité aidée par le Prefet en charge du PREH a des chances de se généraliser. Le BRGM qui cherche à promouvoir un chauffage urbain basée sur la géothermie profonde se voit ainsi en position de valoriser encore plus ce mode de chauffage particulièrement en IDF et dans la région bordelaise.
Maintenant que les plus grands pollueurs de la planète sont enfin résolus à abandonner progressivement et rapidement les produits fossiles et où le monde s’inquiète du nucléaire, il est temps que l’Europe passe aux actes dans le cadre de la COP 21.
Il faut se rendre à l’évidence que consommer à minima 5 fois moins d’énergie primaire pour un même besoin thermique est l’orientation à prévoir pour le chauffage de l’habitat. Ceci particulièrement lorsque dans le même temps cela améliore le social, (en diminuant la précarité énergétique), l’environnement (en participant à l’atténuation climatique et à la diminution de la pollution de l’air en ville) et enfin l’economie européenne (en diminuant sa dépendance aux énergies fossiles )
Il faut maintenant AGIR
Bakendard septembre 2016
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Balendard septembre 2016
Envoyé depuis mon appareil Samsung
grossmann
Pas de contradicteur aussi je reprend ce texte qui me paraît très important
OUI il va falloir enseigner différemment en se préoccupant plus de notre devenir et de notre environnement.
Quiconque s’interesse à la chaleur spécifique de la matiere sait que pour transformer 2 m3 d’eau froide en 2 m3 d’eau chaude en augmentant sa température de 10 à 60°C, il faut 100 kWh. Une quantité d’énergie comparable à celle contenue dans la batterie Tesla évoquée il y a peu de temps sur Goodplanet.
Il y a plusieurs chaines énergétiques pour stocker cette énergie qui est cette fois thermique et non électrique et il serait tout de même utile d’apporter un peu de reflexion pour chercher à savoir qu’elle est celle que nous avons intérêt à retenir
En effet force est de constater que celles que nous utilisons habituellement avec insouciance sont les plus mauvaises. Elles sont les plus mauvaises pour la simple raison qu’ elles dilapident avec insouciance la couteuse énergie primaire. Ceci dans la mesure où elles consomment également 100 kWh d’énergie primaire : à savoir de l’électricité (avec l’effet joule et les résistances electriques) ou des combustible fossiles (avec la combustion et les chaudières). Ceci alors que nous pourrions obtenir le même résultat en consommant le plus économiquement du monde 5 fois moins d’énergie primaire en prélevant 80 kWh thermique directement dans l’eau de nos rivières et fleuves ou à défaut l’aquifère libre en communication avec elle.
Il serait tout de même temps de réaliser que nous pouvons le faire pour le chauffage de l’habitat urbain avec une PAC aquathermique à compresseur sans polluer l’atmosphere de nos villes en y rejetant des gaz nocifs dans l’atmosphère.
Ceci en refroidissant
– 16 m3 d’eau de 10 à 5°C ou mieux
– 4 m3 d’eau de 25 à 5°C
Quiconque connaissant le principe de conservation de l’energie et ayant quelques connaissances en mécanique des fluides est capable de le comprendre. Qui plus est de comprendre qu’assurer le chauffage de l’habitat en refroidissant localement notre environnement présente tout de même un certain intéret à l’ère du réchauffement climatique
Quiconque a lu le livre « La chaleur renouvelable et la riviere » comprendra aussi qu’il est souhaitable de choisir la deuxième orientation. Celle qui consiste à ne pas laisser la copropriété et le syndic faire tout le travail. Ceci en récupérant la chaleur fatale de la géothermie profonde afin d’augmenter la température à la source froide de la pompe à chaleur aquathermique. Un échangeur à plaque est en effet capable de transférer simplement et économiquement de très grandes puissances thermiques sans que l’eau de la nappe libre soit mélangée avec celle de la nappe captive profonde. Ceci afin de ne pas perturber l’équilibre de notre écosystème sous-terrain.
Il n’est pas besoin de faire un dessin pour comprendre les avantages d’une telle solution qui divise à minima par 4 la taille du réseau d’alimentation en eau non potable des immeubles par rapport à une pompe à chaleur sur nappe libre prélevant son énergie dans une nappe phréatique à 10°.
Il n’est pas besoin d’être polytechnicien pour comprendre qu’en récupérant l’énergie fatale de la géothermie profonde jusqu’ici bêtement rejetée en pure perte vers les nappes captives profondes on améliore encore notablement le COP de la pompe a chaleur aquathermique. Et cela dans des proportions qui sont loin d’être négligeable si la température à la source froide de la pompe à chaleur aquathermique passe à 25°C au lieu de 10.
Voir
http://www.infoenergie.eu/riv+ener/source-energie/Complementarite%20des%20reseaux%20ENP.htm
Qui prouve qu’en doublant la température à la source froide d’une PAC aquathermique on réduit encore notablement le besoin en énergie primaire
De plus vu la charge de travail actuelle des syndics et la structure juridique de l’association formée par le syndic et le syndicat des copropriétaires inadaptée à une négociation industrielle on perçoit qu’une orientation mettant en jeu la municipalité aidée par le Prefet en charge du PREH est préférable.
Elle est en tout cas préférable si l’on souhaite généraliser le chauffage de nos métropoles selon ces procédés compte tenu de ses avantage.
Le BRGM qui cherche à promouvoir un chauffage urbain basée sur la géothermie profonde se verrait même en position de valoriser encore plus ce mode de chauffage en laissant les municipalités gérer la production d’eau chaude par de grosses PAC collectives mises en place sur des terrains municipaux situés à proximité des immeubles à chauffer. Ceci de telle sorte que les immeubles étant cette fois alimentés en eau chaude on profitant de l’expérience acquise par la compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU).
Maintenant que les plus grands pollueurs de la planète sont enfin résolus à abandonner progressivement et rapidement les produits fossiles et où le monde s’inquiète du nucléaire, il est temps que l’Europe passe aux actes dans le cadre de la COP 21.
Il faut se rendre à l’évidence: que consommer à minima 5 fois moins d’énergie primaire pour un même besoin thermique est l’orientation à prévoir pour le chauffage de l’habitat.
Particulièrement lorsque dans le même temps cela améliore
– LE SOCIAL
diminution de la précarité énergétique dans la mesure où l’on consomme à minima 5 fois moins de cette coûteuse énergie primaire pour un même besoin thermique.
– L’ENVIRONNEMENT
Ceci en participant à l’atténuation climatique, en diminuant la pollution de l’air en ville et en atténuant les bruits par le fait que l’évaporateur d’une PAC aquathermique est silencieux et qui plus est insensible aux inondations
– L’ÉCONOMIE EUROPÉENNE
en diminuant sa dépendance aux énergies fossiles
Le chauffage de l’habitat représentant actuellement sensiblement le 1/3 de nos besoin en énergie et ne pouvant être satisfait par la combustion des déchets que très partiellement, il nous faut maintenant AGIR
Balendard septembre 2016
Doris Kibart
L’enseignement en France serait-il totalement inadapté à nos besoins?
Je suis la femme de Balendard.
Je prends des cours d’informatique à l’OCDE sommes sur la case 1 du fichier ci-dessous
http://infoenergie.eu/riv+ener/LCU_fichiers/conclusion.htm
Mon mari souhaite que notre chaufferie évolue vers 2 et 3 et me demande s’il y a des cours de formation pour cela
Octobre 2016
Doris Kibart
L’enseignement en France serait-il totalement inadapté à nos besoins?
Je suis la femme de Balendard.
Je prends des cours d’informatique à l’OCDE
Nous sommes sur la case 1 du fichier ci-dessous
http://infoenergie.eu/riv+ener/LCU_fichiers/conclusion.htm
Mon mari souhaite que notre chaufferie évolue vers 2 et 3 et me demande s’il y a des cours de formation pour cela
Octobre 2016